1. Mon amie Béa


    Datte: 06/02/2019, Catégories: fhh, couplus, caférestau, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe init,

    ... remonte doucement le long de mon mollet, son talon viens délicatement effleurer ma bite et la pique sensiblement, comme pour la tester. "Puis-je vous proposer la carte des desserts ?" nous interromps le serveur. "non, ce qui est prévu", lui répond Béa le fixant dans les yeux et elle ajoute: "mais nous allons prendre l’entre plat un peu à l’écart puis nous reviendrons, nous vous inquiétez pas de notre absence, nous en avons pour quelques minutes" avec un magistral sourire au jeune garçon rougissant ainsi qu’à notre riche voisin de table qui n’en perd pas une miette. Je me lève, elle me suit, nous entrons dans un recoin du vestiaire, elle se baisse et libère rapidement ma verge presque dure, la masturbe nerveusement et l’engloutit sans un mot, affamée. Sa posture est sexuelle, elle est là, accroupie, la jupe tendue et remontée, la bouche suceuse, les yeux fermés, elle savoure son plat préféré. Notre voisin de table nous a suivi, il mate en cherchant maladroitement dans son manteau, Béa l’a sûrement vu de sa place, lui doit en tout cas voir un sacré spectacle…Béa se déchaîne, elle me pompe royalement comme à son habitude, ses mains malaxent et son majeur enduit de salive s’enhardit sur ma petite rondelle et y circule en petits ’o’. Je l’arrête pour la prévenir de ma fin proche, mais elle s’active pour m’aspirer de plus belle, en me jetant un regard significatif…et je jouis en râlant, sentant qu’elle avale, une, deux trois, puis quatre ou cinq giclées je ne sais plus, elle ...
    ... bourdonne de satisfaction, sa bouche et sa gorge semblent pleines…tombant sur les mains, elle lève sa croupe, retroussant sa jupe pour dévoiler son joli cul, et se tourne pour s’adresser au mateur, pris la main dans le sac : "Cela vous a-t-il plus Monsieur ? Madame est-elle aussi cochonne ? Une rapide levrette ?" accompagné d’un mouvement de hanches lui faisant trémousser la bande de dentelle ivoire lui fendant l’arrière train…Le Monsieur, gêné, disparaît et nous le retrouverons à table. Le jeune serveur nous pose les desserts, Béa lui glisse un "c’était délicieux" La table d’à côté se lève pour disparaître, notre mateur glisse discrètement une enveloppe à Béa, elle me la confie après l’avoir visitée, toute fière : une carte de visite, avec un élégant ’merci’ et deux cent euros…étonnant…peut-être a-t-il cru que Béa était une professionnelle. "La soirée n’est pas finie" m’annonce Béa,"On va faire un tour sur les quais…" Nous saisissons nos manteaux, le personnel nous libère avant un grand sourire et des remerciements nous sortons, sans régler d’addition, normalement… Nous marchons maintenant d’un pas décidé vers ce club. Dans la rue pavée, les bottes de Béa claquent, elle danse en marchant, belle, élégante, sa cambrure la faisant danser à chacun de ses pas. D’ailleurs, cela ne manque pas, les personnes croisées ne regardent qu’elle… A l’entrée du club le videur semble connaître Béa : il lui décroche un doux sourire. Passage au vestiaire et entrée de le lieu, plutôt chic, chaleureux ...
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