Mon amie Béa
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
fhh,
couplus,
caférestau,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
... seins maintenant bombés, tout offerts aux caresses. La lumière entre deux scènes se fait plus forte, Béa sous l’effet de son plaisir ne souhaite apparemment pas arrêter, elle est en transe, et profite au maximum de ce moment d’exception. Mes doigts vont et viennent sur son clitoris durci. Je fais parfois un détour par ma coupe de champagne pour l’effet des bulles et pour le mélange des parfums. Un homme en costard intervient pour présenter la suite du spectacle : strip, avec deux hommes. Notre jeune de derrière ne perd pas le nord et libére habilement les tétons de Béa, toujours tendus sous son bustier, en descendant le long des bras les fines bretelles : ils jaillissent, gonflés de plaisir. Montrant la voie à suivre, elle saisie les mains de son attoucheur et lui colle sur ses mamelons, au bord de la jouissance : les pouces et les index saisissent les extrémités, ils les roulent, les pincent, les branlent…son corps se raidit, ses jambes commencent à se tendrent, ses cuisses serrent mes doigts plus ou moins insérés, elle ruisselle comme rarement. A moitié consciente, saoule de sexe et de champagne, elle me glisse à l’oreille : "Greg, je vais jouir, j’aimerai tellement que Franck soit avec nous, avec nous deux, comme dans mes rêves…en plus je lui avais promis" Promis ? Tiens donc, c’est une nouveauté cette affaire… jouons, jusqu’au bout… Ejectant le jeune, défroissant à peine sa jupe encore remontée au delà de la limite de ses bas, exhibant ses tétons bandés à l’assemblée, Béa ...
... se lève et traverse la salle de spectacle pour rejoindre Franck. Je lui emboîte le pas en me faisant une joie de la partager enfin. Elle rejoint Franck au bar et lui murmure quelques mots. Il me regarde, esquisse un signe équivoque de satisfaction. Nous pénétrons dans une petite pièce douillette, velours bordeaux, rideaux épais, larges coussins, canapé XXL, l’insonorisation y est poussée et seulement une douce techno se fait entendre. Béa se colle à Franck et l’embrasse goulûment. Ses mains caressent son cul musclé, elle semble décidément bien attirée…Franck me jette un coup d’œil, je le rassure en lui faisant comprendre en un regard que tout est permis, enfin tout ce que lui permettra Béa. Je m’installe sur un fauteuil et mate ma femme se régaler. Parce qu’elle ne perd pas son temps. Déjà Franck est à moitié nu, seul un boxer déformé reste. Le baiser se poursuit, passionné, j’en suis presque jaloux, Béa se cambre pour faire ressortir son cul divin, mis à l’air par les mains de cet homme qui tire sur les dentelles du tanga, vers le haut, comme s’il tenait une prise qu’il ne voulait pas lâcher. Leurs ventres se frottent, Béa lui colle ses seins contre son torse. Je bande dur, mon sexe est plein, je le libère et commence de légers va et viens. Le gland est recouvert de liquide, la lubrification est optimale, le spectacle exquis, le plaisir me démange. Béa est passée à genou, en bustier, sa jupe relevée, ses porte-jarretelles apparent, les bas tirés par cette position, en train ...