Une soirée de réception, le passé resurgit 5
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... semaine prochaine. Et nous voilà partis vers les vestiaires. Je suis obligée de jouer l'étourdie qui a perdu son châle. Mon mari reste très dubitatif. A un moment, je suis seule à côté d'Antonio. Il me murmure dans l'oreille. - Tu vas t'arranger pour coucher ton guignol, on va te baiser chez toi dans ton lit conjugal. Mon sang se glace ! Mais ils sont fous ! - Ce n'est pas possible, vous allez trop loin. Il est jaloux et s'il suspecte seulement mon infidélité, il me répudiera. Non, s'il vous plait… Je ne peux rien ajouter, la voiture s'avance. C'est une grosse berline sportive. Je vois de suite que mon mari est subjugué par ce modèle. Alors Antonio lui propose de la conduire, ce qu'il accepte immédiatement se confondant en remerciements. Il prend la place du conducteur aux côtés d'Antonio. Un vrai gamin ! On m'ouvre la porte arrière, je monte et c'est le gros que je vois entrer à l'arrière par la porte opposée. La panique m'envahit à nouveau alors que je croise le regard de mon époux dans le rétroviseur. Souriant, il semble heureux, loin de s'imaginer ce qui pourrait advenir. Mais moi, je me rends compte que j'ai envie de baiser. De me faire prendre comme la salope qu'ils ont découverte en moi. Je me fous de mon mari, de sa carrière, de nos relations. J'ai envie d'une queue bien dure pour me remplir le con. Les mots qui me viennent à l'esprit ne me sont pas coutumiers, mais ils me viennent naturellement. Je sens que ma cyprine s'écoule de mon sexe nu. J'ai envie de jouir là, ...
... maintenant et ce n'est pas le regard de mon mari dans le rétroviseur qui va m'en empêcher. Lentement je défais la ceinture qui ferme mon imperméable, je dégage mes épaules en disant : - Chéri, tu peux monter un peu la clim ? J'ai envie de me détendre dans ce milieu de luxe, je suis tellement fatiguée. Aussitôt, je vois Antonio manœuvrer un bouton et instantanément un souffle de chaleur envahit l'habitacle de la limousine. Je me laisse glisser dans les fauteuils de cuir, indifférente à ma robe qui monte haut sur mes cuisses nues les découvrant jusqu'à ma chatte. Je croise le regard ébahi de mon mari qui a du mal à fixer la route devant lui. Il me foudroie, je lui souris en laissant ma tête se poser sur l'épaule de mon voisin qui a les yeux fixés dans mon décolleté. Je me sens bien, heureuse, détendue. La voix d'Antonio me sort de mes rêveries. - Mon cher ami, votre femme est splendide. Elle était réellement la plus belle de la soirée. J'espère que vous avez conscience de votre chance. Nous arrivons devant notre maison. Je reviens à la triste réalité, et je redoute la suite. Mon époux qui est encore sous le choc de mon abandon n'ose rien dire. Vont-ils vraiment venir chez nous et me prendre dans le lit conjugal en sa présence, comme Antonio m'a menacée de le faire ? J'ai envie de baiser, de me faire baiser par n'importe qui. Je me suis découverte salope et plus rien ne m'arrête. C'est mon époux qui rompt le silence. - J'aurais bien aimé vous faire venir boire le dernier verre ...