1. Les amis de ma mère... (2)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: Gay

    ... Je joue donc uniquement avec ma langue sur son gland pour l’inciter à se lâcher. On entend un bruit de clés, puis ma porte qui s’ouvre. Je ne sais pas quoi faire, j’arrête de sucer mais, alcool aidant, je ne réagis pas plus. Je reste donc agenouillé, nu, devant Sébastien, sans bouger. C’est Olivier, seul, qui entre dans le salon. Il marque un temps d’arrêt et écarquille les yeux. Je crois que sa mâchoire a failli toucher le sol tant il a été surpris. "Mais comment tu as fait ?" La question est adressée à Sébastien, qui ne tarde pas à lui répondre : "On a juste discutés, puis ça a dérapé... - Waouh ! Euh, désolé, je vous laisse tranquille!" Je réagis enfin, gêné : "Mais non, reste, je vais m’en aller... Désolé..." Je vois Olivier ouvrir la bouche, mais c’est Sébastien qui prend la parole en premier : "Hors de question, tu as bu, et puis je t’ai promis une place ici cette nuit !" C’est vrai qu’il serait risqué de rentrer maintenant au vu de mon état... Intimidé, J’acquiesce et attrape mon boxer pour me rhabiller. zayzbbxj Une main interromp mon geste, je lève la tête, c’est Olivier : "Mais non, sois pas gêné parce que je suis là, je vais pas vous déranger plus longtemps ne t’inquiète pas. -Mais non, reste... Enfin, je veux dire..." Les mots ne me viennent pas, il est clair que je n’ai pas envie de m’arrêter maintenant, mais en même temps c’est très gênant... En baissant la tête je croise l’entrejambe d’Olivier, Waouh ! Il y a une bosse énorme ! Au moins aussi grosse que celle ...
    ... de Séb tout à l’heure ! Je reste bloqué, et je ne remarque pas que les deux hommes m’observent attentivement en silence. C’est la main d’Olivier qui me ramène a la réalité, il a posé sa main derrière ma tête, comme son compagnon l’avait déjà fait avec moi plus tôt dans la soirée... Et il me tire vers lui de la même manière aussi, guidant mon visage jusqu’à qu’il vienne s’écraser contre le pantalon au niveau de l’entrejambe. Je sent sa queue, grosse et dure, au travers du jean. Je hûme l’odeur qui s’en dégage et je reconnais l’odeur du sexe, pas des attributs, non, l’odeur de l’acte sexuel. Cette odeur qui signifie qu’il viens d’avoir un rapport. Je mordille sa pine au travers du tissus, de haut en bas, de bas en haut... Je la sent grossir encore. Sébastien est venu nous rejoindre, je l’ai vu du coin de l’œil achever de se déshabiller et venir. Je sent aussi sa queue, imposante, a côté de ma tête. Mais c’est Olivier qui veux profiter de l’occasion : en me tenant fermement par les cheveux, il me tire la tête en arrière, et de son autre main, il descend son pantalon, me présentant son engin. Il a une très belle queue, pas aussi longue que celle de son copain, mais sensiblement aussi large. Me tenant toujours fermement les cheveux, il en profite pour diriger ma tête sur son dard, me me glissant dans la bouche, doucement mais en un seul geste, puis il me lâche. Au bruit je comprends que Séb est en train de le déshabiller, moi j’entame ma pipe. Je salive beaucoup, ce qui lubrifie ...