1. Le frotteur de ma cousine Valérie (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Hétéro

    Dans tous les petits villages, au moment des fêtes, il y a des quinzaines commerciales. Et cette année c’est ma grand-mère qui a gagné : deux places pour une journée au parc Eurodisney, départ et retour en car. Nous sommes trois petits enfants en âge d’en profiter selon elle, et c’est naturellement qu’elle a acheté une troisième place. Et c’est ainsi qu’au printemps nous nous retrouvons le vendredi soir chez ma grand-mère, avec mon petit frère et ma cousine, Valérie, de six mois ma cadette. Valérie est une grande blonde 1.7m, avec des yeux très bleus et une jolie bouche pulpeuse. Elle est jolie mais très coincée : jamais maquillée, je ne connais même pas la forme de son corps ses vêtements ne permettent pas de le deviner. Le soir venu, une fois le dîner passé, chacun regagne sa chambre, le départ doit se faire vers cinq heures du matin et si on veut profiter de notre journée il faut se reposer. Vers 11 heures je descends aux toilettes, qui sont occupées. Je m’assieds dans le couloir sur un fauteuil et patiente. Ce couloir est juste éclairé par une lampe posée sur un guéridon juste en face de moi. Après quelques minutes le loquet se déverrouille et la porte s’ouvre je vois Valérie sortir. Elle porte un pantalon blanc très ample et un t-shirt qu’il l’est au moins autant. Elle est dans les vapes et me distingue à peine. Je la salue, amusé de son endormissement. Elle s’arrête juste en face le guéridon, et pour la première fois je distingue son corps en ombre chinoise sous le peu ...
    ... d’étoffe qui la recouvre. Elle est de profil. Ses seins sont beaux, ronds, lourds, en poire ils tiennent parfaitement et je distingue même le long du tissu un téton court mais volumineux. Ses fesses : elles sont hautes et rondes superbes ! Son ventre est plat et je devine même le renflement de son mont de Vénus et le poil qui l’orne... — Eh bien le réveil n’est pas facile !!? — Hummm. Elle émet un son qui ne doit pas être un mot, et se tourne pour me faire face. Je vois maintenant le galbe de ses cuisses que je parcours du regard du bas en haut : quel émoi ! Je vois les contours de son sexe ! Je vois nettement ses lèvres se joindre en un léger « bourrelet », un tout léger duvet me laisse tout le loisir de l’admirer : je bande ! — Tu fais quoi ici en pleine nuit ? — Eh bien comme toi je vais aux toilettes, mais j’ai dû attendre. — Désolée... — Ce n’est rien, crois-moi ce n’est rien, cela ne me gêne pas. — Eh bien la place est libre maintenant... — OK bonne nuit. J’attends qu’elle se retourne pour me lever afin qu’elle ne voie pas l’état de ma queue qui déforme mon pyjama. Je redresse, me dirige vers les toilettes. — A quelle heure on se lève au fait ? Je me retourne et lui réponds « quatre heures ». Je vois ses yeux s’écarquiller. Aucun doute possible elle vient de voir mon érection sous mon pantalon que je n’ai pas pensé à cacher mieux que cela. Je me retourne vite faite. — Tu viendras me réveiller s’il te plaît, je ne suis pas sûre d’entendre le réveil ? — Oui bien sûr. Elle ...
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