1. Juste une histoire


    Datte: 07/02/2019, Catégories: fh, jeunes, inconnu, boitenuit, danser, douche, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init, poésie, journal, ecriv_f,

    ... Puis ton rire résonna. L’eau froide eut de l’effet sur toi, En plus de la chair de poule que tu attrapas; Tes tétons durcirent comme la première fois, En une simple caresse, du bout de mes doigts. Enfin ce fut l’eau chaude qui arriva. La vapeur d’eau apparut tout autour de toi, L’ambiance alors se réchauffa. En regardant l’eau couler sur toi, Je repensais, j’imaginais mes doigts, Qui caressaient ton corps pour une ultime fois. Comme ce jour-là, Sous mon jean une bosse se dressa, Petit à petit, je me sentis de plus en plus à l’étroit. Alors je déboutonnai mon pantalon étroit, Je libérai mon membre dur et droit, Puis je commençai lentement à me caresser du bout des doigts, En te regardant,la mia principessa. Une fois mouillée, sur ton corps tu passas Ce gel douche au parfum d’orchidée, qui est pour moi L’odeur de la plus belle fleur qui existe : toi. Sur ton corps ta main glissa, Puis étala Cette mousse blanche qui parut à ce moment-là Ton plus bel habit, comme une robe de soie. Ma hampe grossit encore et encore sous mes doigts. Voir tes mains caresser ton corps m’envoûta. Puis tes cheveux tu lavas, Ondulés, comme les dunes du Sahara. Tu en prenais grand soin, tout comme moi, Lorsque je te les brossais, certains soirs, dans mes bras. A des moments, avec, du plaisir tu me donnas, Lorsque certaines mèches, s’ajoutant à tes baisers délicats, Sur mon sexe des frissons cela me procura. Une fois toute mousseuse, l’eau coula A nouveau sur cette œuvre d’art qui m’excita. Sur ton ...
    ... visage, elle ruissela, Entre tes lèvres, elle s’immisça. Comme si c’était moi, Tu l’embrassas, Langoureusement, longtemps cette image m’obsèdera. Je me masturbai, le désir trop intense s’emparait de moi Le mouvement de mes mains petit à petit s’accéléra, Jusqu’à la chamade, mon cœur s’emballa. Heureusement, mes gémissements la musique dissimula. Tout comme les tiens que je n’entendis pas, Lorsque le jet d’eau sur ton diamant du plaisir tu dirigeas, Puis que de l’autre main, tes seins tu caressas. Sur ton visage je lus le plaisir monter en toi, C’en fut trop pour moi. Ma respiration s’accéléra, La chaleur, de mon âme, de mon corps, elle s’empara; J’explosai de plaisir tellement il fut fort et délicat, Dans un dernier râle de jouissance, sur mon boxer, mon jus s’étala. Sans le savoir, de plaisir, Tu venais de me faire jouir, Encore une fois. Une fois mes esprits repris, une ultime fois, A travers cet entrebâillement, je te regardai, toi. Les yeux mi-clos, un dernier spasme te secoua. Tu fus si belle ce soir-là, Lorsque le plaisir intense s’empara de toi. Dans ton regard, je lus une dernière fois Cette paix intérieure, ce bonheur, cette joie, Que, j’espère, désormais, là-haut, tu as. Car à cause de moi Maintenant tu n’es plus là. On ne s’était pas protégé, cette nuit-là. Beaucoup trop vite le virus s’est emparé de toi, Le Syndrome d’Immuno Déficience Acquise a été lancé cette fois. Le VIH pour le moment m’a épargné, pas toi. Aujourd’hui, tu es morte à cause de moi, Mais ta joie de ...