1. Un cadeau de Noël...


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sodomisé, il avait un sexe pas très long mais extrêmement large. Jacques et Marcel pour des vieillards avaient des bites assez conséquentes. La plus étonnante était celle de Robert, pour un homme de petite taille, elle était au moins aussi grosse et grande que celle de Victor, elle devait mesurer plus de 23 cm pour un diamètre respectable... Il était le seul à avoir un semblant de rigidité. Je me fis la réflexion qu'avec les effets du viagra... « Avant de passer à table, vous allez pouvoir récupérer, les petites babioles promises... » Ils s'étaient a nouveau assis sur le divan. Je baissais doucement les bretelles de ma nuisette et la laissais tomber sur le sol. Je m'approchais du grand Jacques, mis un pied sur le canapé. « Je crois que mes bas sont à vous... » Les mains tremblantes, le yeux fixés sur la fente du string, il défit les attaches, me quitta mes chaussures et fit rouler doucement les bas le long de mes jambes fuselées. Ce fut ensuite le tour de Marcel, avant de me quitter le bustier seins nus, il caressa les deux globes fermes, pinçant mes mamelons en érection. Je présentais ensuite mon dos à Jules et lui demandais de me dégrafer le porte-jarretelles, ses mains se plaquèrent sur le devant de mes cuisses, remontèrent à l'intérieur, effleurant ma chatte moite, et comme a regret avec un petit soupir il récupéra son bien. « C'est dommage... je te préfère avec un porte-jarretelles... » Ce déshabillage avait du un peu émoustiller Robert, il bandait un peu plus que tout ...
    ... à l'heure. « Regardez à quoi sert l'ouverture sur ma chatte... » Je lui attrapais son rouleau de chair semi-rigide et le frottais le long de ma fente humide, il donna un coup de reins. « Non, ne soyez pas pressé... Quittez-le-moi... » Je me retrouvais nue au milieu des quatre vieux, qui maintenant étaient debout, huit mains se baladant sur ma peau. Je les repoussais gentiment, et me dirigeais vers le divan. Victor arriva avec un plateau sur lequel il y avait des talons aiguilles noirs ainsi que des bas et un porte-jarretelles de la même couleur. Les hommes aiment tout autant voir une fille quitter sa lingerie que l'enfiler... « Mais passons à table, dit Alfred, les entrées sont servies... on pourra tout autant profiter du spectacle ! » Il avait installé ses convives d'un côté de la table face au divan. J'agrafais le porte-jarretelles sur mon ventre, et en leur souriant, je le fis tourner sur mes hanches, je m'assis sur le divan, passais un bas, le laissant tire-bouchonner sur ma cheville, puis l'autre et je chaussais mes hauts-talons. Mes mains partant des chevilles caressèrent lentement à tour de rôle mes jambes jusqu'au haut de mes cuisses. Je déroulais ensuite le bas sur ma jambe gauche avec une lenteur calculée, je fis de même pour la droite. Puis j'attrapais une lanière et accrochais l'agrafe sur le devant de ma cuisse, je fis semblant d'avoir de la difficulté à le faire ce qui me permit d'écarter les cuisses. Leurs regards, leurs respirations saccadées, m'excitaient, je ...
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