1. Ma tante de 45 ans est sublime (7)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fois, j’approchai mon sexe et rentrai lentement en elle. Chantal ne put s’empêcher de pousser un cri provenant du plus profond d’elle-même. Elle était en pleine phase de plaisir. Ma pénétration si lente la combla au-delà de ses espérances, au-delà du plaisir qu’elle eut connu. Une fois rentré jusqu’à fond de son anatomie, je restai en elle, sans bouger. Nous nous regardions, éprouvant le même désir de se savoir l’un dans l’autre. Nos regards n’étaient plus de la complicité ni de l’harmonie, ce fut un partage de nos âmes. Notre accouplement devint majestueux quand nous nous fîmes un ultime sourire, oubliant nos âges respectifs. Que c’était beau d’être dans ma tante. Que c’était bon pour elle de me sentir. — Jean, je t’adore, ça reste merveilleux entre nous. — Oui Chantal, t’es juste magique ! Ma cadence se mît au trot et en bon cavalier, j’imprimai ce rythme à ma belle jument. Je ne voulus point la brider et lui laissai quelques libertés. Ainsi, Chantal eut la bonne idée de venir poser la plante de ses pieds divins sur mon torse. Ma jument féerique connaissant mon point faible, sut fort bien qu’à cet endroit, ils furent proches de mes lèvres et que cela me provoquerait une excitation profonde. Subtilement et tandis que le rythme ralentissait, ma tante les porta à hauteur de mon menton. Je crus deviner son petit manège lorsqu’elle me fit un haussement de sourcils. Ma concentration, mes sens furent amoindries. La chaleur de ma tante était dense, mais le désir de lui embrasser ...
    ... ses orteils au vernis rose fit son chemin. Je fixai la partenaire de mes fantasmes. De sa propre initiative, elle replia ses orteils en les maintenant sous mon nez. Ainsi, je voyais leurs ongles parfaits au vernis rose. Chantal ne pouvait pas mieux faire pour me faire admirer la partie de son anatomie. Elle en abusait en posant ses orteils sur mes lèvres. Le cavalier que j’étais, excellent de surcroît, se prit au jeu. Il passa directement au galop face à sa jument quelque peu surprise. La douce maintenue tant bien que mal ses longues jambes, au bord de ma zone érogène. La muqueuse de mes lèvres me signifia qu’il était grand temps de s’occuper des pieds de Madame ma tante (!). Ma passion l’emporta, ses orteils si fins atterrirent dans ma bouche dont la langue s’empressa de les dorloter. Le fait de sucer ses si beaux pieds me transcenda. Le cavalier était au galop, à travers les champs de blé, au passage il caressa la croupe de sa jument qui poussa un hennissement. La jument se voulut capricieuse, difficile à dompter. Il se transforma en un preux chevalier. De jument capricieuse, elle se fit déesse d’un roi malade, avec lequel l’ennui était de mise. Le chevalier se devait de la délivrer de cet isolement. Avec ses armes, le Chevalier entra âprement dans la bataille. Le roi ayant disparu depuis belle lurette, la déesse était en proie à la mélancolie, au souvenir de plaisirs peu consommés. Il lui fallut lutter contre ses maux. Armé comme il se doit, il délivra le corps de sa belle. ...