1. Ma tante de 45 ans est sublime (7)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mains pour les porter à ses lèvres. Ce geste anodin fut considéré pour ma part, comme une façon pour ma tante de me donner également du plaisir. Pour autant, je continuai ma marche lente. Une sorte de pèlerinage se mît en place pour accéder à cette voûte céleste. Le bout de ma langue goûta de manière précise, les pétales roses, humides comme la rosée du matin. Enchanteresse fut le mot qui me vint à l’esprit. A un train de sénateur, mes lèvres se mirent en approche, se collant aux pétales rosés pour venir butiner son stigmate. Je comparai son anatomie à cette fleur appelée Anémone, connue sous fleur des vents, pour symboliser un amour intense mais fragile. Pour l’heure, Chantal se délectait de mes doux baisers, déposés au cœur de son intimité qui visiblement, avait dépassé le stade d’une rosée matinale ! Désormais, ma tante m’offrait son sexe sans aucune retenue. Dire qu’elle mouillait sous la chaleur de ma langue, me parut bien faible vue l’attitude adoptée par la sublime sœur de ma mère. — Mais Chantal, tu es une fontaine ! — Que veux-tu, tu t’y prends tellement bien avec moi ! — Laisse-moi te bouffer toute entière. — Oh oui, bouffe-moi, aspire-moi. Transcendé pas ses paroles, je continuai mon aventure. D’un coup de langue habile, je tournai autour de son crépuscule, ce qui provoqua immédiatement un spasme chez ma tante. Elle me serra les mains avec une force transpirant le désir reçu. Mon Anémone était ouverte, prête à recevoir un intrus. Des mots simples me traversèrent ...
    ... l’esprit. Que ma tante fut belle dans l’instant. Elle me regarda de manière hagarde, sachant que j’allai l’inonder de bonheur. Elle fut jouissive à contempler. Je me redressai, elle me dévisagea. A la seconde précise, je fus son maître, ma tante devenant ma proie telle une belle femelle en chaleur. Elle écarta ses jambes raffinées. Son sexe n’étant plus une fleur, je me mis à penser ... "Et, sous le voile à peine clos, Cette touffe de noir jésus Qui ruisselle dans son berceau, Comme un nageur qu’on n’attend plus..." Je fus devant ce jardin qu’on ouvre que la nuit. Je vois un étrange attirail. Des fleurs, des oiseaux, du corail et de l’or en fines paillettes. Je vois une source très pure. Je vois des rires et des sourires, une oasis près d’un écueil... La nature avait gâté ma tante. J’introduis ma langue au profond de son intimité, ma tante en oublia qui je fus. Je bus sa liqueur abondante, Chantal fut prise d’un orgasme aussi dévastateur qu’intense. Elle lâcha des cris escortant son plaisir, accompagnés de convulsions passionnés. Elle eut cet effet du miroir, voyant le plaisir que je prenais, elle s’abandonna dans son monde de jouissance comme faisant l’amour avec elle-même. Sa voix se fit douce et émotive. — Jean, je ne sais plus où j’en suis ! — Tu es avec moi ma chérie. — C’est fabuleux ce que je ressens avec toi, tu me donnes des orgasmes inouïs. — J’en suis flatté ma tante. — Oh mon neveu, viens me baiser maintenant, je t’en supplie ! Je m’apprêtai à baisser mon pantalon ...
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