1. Ma tentation incestueuse (8)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... déposait dans le cou me faisaient un effet dingue. Lorsque ses doigts entrèrent en contact avec mon clito durci, le petit gémissement aigu qui sortit de ma gorge symbolisa mon entrée au paradis saphique. — Eh bien mon bébé, je trouve ton gémissement adorable... me complimenta-t-elle en débutant ses caresses. — Oooh, mamaaan... soufflai-je, les yeux mi-clos en me blotissant contre elle. — Oui, mon bébé. Est-ce que ça te plaît ? — C’est merveilleux, ma petite maman chérie. — Dis, si Jeff nous surprenait toutes les deux, là, maintenant, que se passerait-il à ton avis ? — Ooooh... Il... il choperait une érection du tonnerre, j’en suis sûre ! répondis-je, submergée par le plaisir qu’elle me procurait. — Qu’est ce que tu voudrais qu’il te fasse pendant notre petite fête, dis moi ? — Je voudrais qu’il... Ooooh... qu’il me prenne en levrette pendant qu’on sera en 69 toi et moi... Je... je voudrais que... Haannmmm... — Oui, continue, ma puce. Parle-moi de tes fantasmes. — Je voudrais qu’il remplisse ma bouche de son jus crèmeux et poisseux... — Tu y as déjà goûté ? Il est bon ? — Délicieux, maman ! Si tu aimes le sperme, tu vas adorer celui de Jeff. — Ça te dirait qu’on se le partage avec un baiser devant lui ? Lui, il adorera regarder ça. — Oh ouiiii, avec joie... swcsddrl Parler de mes désirs pendant que ma mère me caressait accentuait les sensations déjà fortes qu’elle me procurait. Mon état d’excitation était décuplé, je perdais doucement la tête, plongée dans les méandres du ...
    ... plaisir. Je sentais mes muscles se contracter. Maman appuya un peu plus fortement sur mon clito et me caressa de plus en plus vite. J’essayais au maximum de retarder l’inévitable, de profiter de son savoir-faire, mais maman était une amante expérimentée. Je l’embrassai de nouveau, la dévorai à l’image du plaisir qui m’envahissait. La raison n’existait plus, je me laissais emporter, je n’en pouvais plus. — Maman... Maman... Mamaaaann, je... hoquetai-je, ma bouche collée à la sienne. — Je suis là, mon bébé, dit-elle comme pour me rassurer. Je t’aime ; jouis comme une folle. Vas-y ! Je me contractai, me tendis comme un arc, me blottis encore plus contre ma mère ; mes yeux roulaient, et je hurlai longuement mon bonheur lorsque l’orgasme me secoua. J’embrassai maman pour la remercier de ce fabuleux orgasme, et lorsque le plaisir est retombé, je me retournai afin de lui donner du plaisir à mon tour. Je l’embrassais amoureusement, lui léchais le cou, les mamelons, faisant aisément ressortir la pointe de ses seins. Ses mains m’invitèrent à continuer ; je me mis à la téter, ce qui la fit gémir. — C’est bien, ma puce. Continue comme ça... souffla-t-elle. Mes mains n’étaient pas inactives car l’une d’elle s’occupait de l’autre sein et l’autre entra en contact avec sa chatte mielleuse. Ce seul contact la fit frissonner, et je me mis à la recherche de son petit bourgeon d’amour. Je le cherchai quelques secondes, et sus que je l’avais trouvé lorsque j’entendis maman pousser un petit râle de ...