1. Une journée qui commence bien


    Datte: 08/02/2019, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, jeunes, couplus, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, totalsexe,

    ... aurait quand même pu faire un effort ! Bon, j’avoue qu’à sentir sa queue qui tressautait sur ma cuisse, il devait être lui aussi diablement énervé… Mais ce n’est pas une raison ! De dépit, je me suis tournée sur le côté, lui présentant mon dos. Comme à son habitude, je l’ai senti venir se couler contre moi et placer son sexe durci entre mes fesses. Un petit coup de reins pour lui montrer mon mécontentement ; ça lui apprendra ! Lorsque je me suis réveillée au matin, la chambrée était encore plongée dans le silence, seulement troublé par les respirations lentes et profondes des dormeurs. Un mince rayon de soleil filtrait par la fenêtre, baignant la pièce d’une douce lumière diaphane. Je me suis redressée et j’ai regardé Jean qui dormait encore. Les draps avaient glissé sur ses jambes, laissant son sexe fièrement dressé à nu. Du bout des doigts, j’ai remonté la hampe, des testicules jusqu’au gland, laissant ma paume caresser ce bâton de chair que je convoitais. Mon désir de la veille, insatisfait, revenait au galop. Je taquinais le méat. J’avais une folle envie d’y déposer un baiser, de sentir ce gland sur mes lèvres. Je sais qu’il adore ça. Je jetai un œil furtif sur nos compagnons de la nuit. Thipaine et Chloé dormaient l’une contre l’autre, entièrement nues. L’une me présentait une poitrine suggestive tandis que l’autre m’offrait une vision de ses fesses parfaites. Elles étaient belles ainsi, alanguies. Un peu plus loin, Christophe se reposait sur la méridienne, son visage ...
    ... aux traits reposés tourné vers moi. Je détaillai son corps mince, et m’arrêtai sur le caleçon qu’il avait gardé et qui masquait à ma vue ses attributs. Il devait lui aussi être en érection, mais je ne pouvais rien voir que ce morceau de tissu tendu par sa virilité très certainement gorgée de sang. Je me suis sentie frustrée et je regardai à nouveau mon homme qui n’avait pas bougé, son sexe plein de vie emplissant ma main. Je cajolai cet objet de désir, avide de pouvoir le goûter sur ma langue, désireuse de le sentir emplir ma chatte. Mais Jean ne bougeait pas. Il est si beau quand il dort. Je le laissai à regret à ses rêves qui, je l’espérai, faisaient de moi son héroïne. Je délaissai doucement le sexe adoré et me levai sans faire de bruit. En sortant de la chambre, j’abandonnai ma petite culotte qui avait subi les outrages de mes désirs et m’emparai d’un paréo qui traînait là pour voiler ma nudité. Le coin cuisine était déjà occupé par nos hôtes, et je leur fis signe que tout le monde dormait encore. Je m’approchai d’eux pour les saluer, et acceptai la tasse de thé qu’ils me tendirent. Ils s’excusèrent de ne pouvoir rester avec moi, renouvelèrent leur invitation à profiter de la maison, et me laissèrent là à ma tasse brûlante. Je profitai de leur départ pour sortir, et me laissai bercer par les rayons du soleil qui venaient agréablement chauffer ma peau. Cette journée d’été s’annonçait des plus prometteuses. Ma déambulation prit fin lorsque je m’adossai à une colonne qui ...
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