1. L'enterrement de vie de jeune fille (2)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Hétéro

    Mia m’observe donc depuis l’encadrement de la porte, dans sa tenue de Leia, presque nue. En parlant de nudité, je ne suis pas en reste. Mon seul atour est le bandeau noir qui ceint mon crâne et masque mes yeux. Pour être tout à fait honnête, cette étoffe n’est pas parfaitement occultante : je discerne des formes, sans précision, mais ce que je crois percevoir, moi le fan de Star Wars, suffit à me donner un début d’érection. Ce n’est pas plus mal, car mon sexe, s’il est loin d’être impressionnant au repos, est plutôt au-dessus de la moyenne au meilleur de sa forme. Mia prend un moment pour assimiler la scène. L’homme étendu sur le lit est immobilisé, ses quatre membres solidement attachés aux pieds du lit. Elle ne peut s’empêcher son regard de glisser sur son corps, ses pectoraux, ses abdominaux, son sexe... Troublée, elle tente un pas en arrière mais ses amies lui bloquent le passage. Pétrifiée, elle s’autorise à regarder le visage de l’homme... C’est bien moi. Son collègue. Son fantasme. Elle reconnaît désormais nettement ma barbe de trois jours, mon menton... Oh mon dieu ! Elle sent le souffle de Rosie contre son oreille : — Entre, Mia... — Mais comment... ? — Quelle importance ? Allez Mia, vas-y, lâche-toi ! Il est tout à toi, et Julien n’en saura jamais rien... — Non je ne peux pas... — Mais si tu peux ! Au même moment elle sent une légère poussée dans son dos. Les premiers pas sont les plus difficiles, la culpabilité qui menace de l’étreindre rendant chaque mouvement ...
    ... pénible. Je devine qu’elle s’assoit sur le bord du lit. Bientôt le matelas s’affaisse sous le poids de trois autres popotins. L’attente me semble interminable et pourtant ce ne sont sûrement que quelques secondes qui s’égrènent. Rosie s’empare de la main de Mia et la pose sur ma cuisse. Je ne peux refréner un frisson ; ma verge non plus, qui effectue un bond sans que je la contrôle aucunement. Mia tente de retirer sa paume mais Rosie l’avait vue venir et la maintient au contact de ma peau. Une nouvelle fois elle se penche sur Mia, et je l’entends lui murmurer : — Ce qui se passe dans cette maison reste dans cette maison... Réalise ce fantasme qui te torture, Mia... Enfin je sens les doigts de ma belle qui se mettent en mouvement. Lentement ils remontent, hésitants, atteignent ma hanche, puis ma taille. Ils dessinent une arabesque complexe, plus synonyme de l’indécision de Mia qu’une réelle dimension artistique, et enfin mon visage. Lorsque sa paume effleure ma joue je tourne la tête et dépose un baiser sur sa peau. Je l’entends soupirer, presque gémir, et je comprends qu’une nouvelle barrière vient de céder. De sa main libre, elle caresse un instant mes abdominaux, puis descend en ligne droite. Elle frôle mon sexe désormais bien dressé, déclenchant de fougueuses ruades. Elle y reste quelques secondes, prenant le temps d’en apprécier la chaleur, la forme, la dureté, puis achève son parcours en empaumant mes bourses épilées. Je suis au supplice, délicieux supplice. Sa première ...
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