La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1171)
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1160) - Je compris alors que j'avais encore tant de choses à apprendre ! … Les jours passaient... La vie s'organisait... Le Maître avait fixé Ses Règles et Il les appliquait à Sa Façon, toujours la même, inflexible. J'y avais trouvé un équilibre jamais atteint auparavant. Je me sentais enfin à ma vraie place, dans mon état naturel et découvrais que cet équilibre mental qui, sans m’en rendre compte jadis, m’avait tant manqué. C’était une forme de plénitude, un bien-être intérieur d’être ce que la Nature avait fait de moi ... un esclave, un soumis, obéissant, subissant une correction au moindre écart ou signe de faiblesse dans mon engagement. Cependant, il y avait un domaine où je décevais encore Monsieur le Marquis, c'était dans mes résultats aux partiels et aux devoirs... Il avait fixé la note de 12 comme le minimum admis. Il m'accordait du temps pour travailler et réviser dans ce but. Mes seules autres activités, outre toujours être à Sa disposition sexuellement et ‘D/sement’ consistaient à faire le ménage et la cuisine, ainsi que le service, et parfois à effectuer des recherches pour Ses Propres études. Mais malgré cela, je peinais à progresser, me maintenant à peine au-dessus de la moyenne. Je sentais que cette situation ne convenait pas au Maître et que tôt ou tard, j'allais en payer le prix. Mais je ne me doutais pas de la façon dont cela allait me tomber ...
... dessus. Ce jour-là, nous avions cours en amphi et il y avait une copie à rendre dans cette matière pour laquelle j'avais assez peu d'intérêt et des résultats à l'avenant... Lorsque je passais devant le bureau du prof afin de déposer mon devoir, il m'interpella et me dit de l'attendre. C'était un homme d'assez petite taille, dégarni, avec de petites lunettes cerclées et une moustache poivre-sel. Il ne portait que des costumes gris, très bien coupés et ne se débarrassait jamais de son nœud papillon... - Nous allons aller dans mon bureau, nous serons plus tranquilles, me dit-il... Sans ajouter un mot jusqu'à ce qu'il pousse la porte de son bureau, après avoir traversé celui de son secrétariat, vide à cet instant. Le bureau n'était pas très grand mais parfaitement rangé et impeccable. Il s'assit et je demeurai debout, face à lui, de l'autre côté du bureau. Sans mot dire, il ouvrit un tiroir, en sortant une enveloppe qu'il me tendit. Je remarquai immédiatement sur le rabat, le sceau imprimé des Armoiries de la Noble Famille des Evans. Fébrilement, je déchirai le papier qui ne contenait qu'une feuille sur laquelle figurait une courte phrase : - Fais tout ce qu'il t'ordonne. Signé Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans - Est-ce clair ?, me lança la voix froide et méprisante du professeur qui tendait la main afin de récupérer le courrier... - Parfaitement clair, Monsieur, lui répondis-je en rendant la feuille. - Bien... Nous sommes très mécontents, le Maitre et Moi-même, malgré les ...