Le lendemain de la nuit de noces de Rodolphe
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
grp,
jeunes,
couplus,
grossexe,
hotel,
soubrette,
noculotte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
... j’étais comblée ! J’étais à nouveau dans un état pré-orgasmique lorsqu’une nouvelle personne entra dans la chambre. Cette fois, la porte s’ouvrit sur une superbe brune d’environ quarante ans. Juchée elle aussi, sur des hauts talons, vêtue d’un tailleur gris très strict, ses cheveux bouclés d’un noir de jais tombant sur ses épaules. Mais la jupe était fendue jusqu’à la taille, la veste du tailleur était ouverte, et elle ne portait rien dessous. Ses deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très bruns et aux pointes turgescentes étaient suffisamment gros pour écarter complètement les deux pans de la veste. — Eh bien bravo les amis ! Je pensais que la nuit de noces avait été suffisamment agitée pour vous rassasier. Je vois que ce n’est pas le cas ! Carla, est-ce vous qui avez déclenché ce début d’orgie ?— Oh Madame la Comtesse, quand vous saurez le pourquoi, vous serez indulgente j’en suis sûre! Nous en étions aux présentations, et Mademoiselle… je veux dire Madame Marjorie m’a présenté Monsieur Fabien. Oh ! Madame la Comtesse, il a une queue comme j’en ai rarement vu ! Je n’ai pas pu résister à l’envie de l’emboucher, lorsque Monsieur Rodolphe, profitant de ma position, est venu me la mettre…— Et bien sûr Marjorie est venue vous lécher la jonction ! Mais qui est ce Monsieur Fabien ? Je suppose que c’est celui qui pistonne la jeune personne qui est en train de jouir. C’était un peu surréaliste car l’intrusion de la Comtesse, puisque Comtesse il y avait, n’avait ...
... arrêté ni Rodolphe, ni Fabien. La soubrette avait d’ailleurs fourni ses explications sur un rythme saccadé que les coups de queue de Rodolphe avaient rythmé. Quant à moi, l’engin de Fabien avait fait son effet, et je jouissais comme une folle. — Quand vous aurez terminé, Monsieur Fabien, vous serez assez aimable pour me montrer ce qui a émerveillé ma femme de chambre.— Fabien, montre ta bite à Charlotte, dit Rodolphe sans cesser de baiser Carla. Obéissant et obtus, Fabien me lâcha en plein orgasme. Et comme il l’avait déjà fait avec Marjorie quand nous les avions surpris, il se mit à décharger en quittant mon vagin. Il avait une superbe queue, certes, mais elle avait une fâcheuse tendance à s’épancher lorsqu’elle quittait une chatte. Mes fesses et mon dos furent arrosés de deux longues giclées, et en se tournant il envoya le reste dans les cheveux blonds de la soubrette toujours penchée sous les coups de bite de mon cousin. — Aaaah ! Ouiiii ! s’exclama la comtesse. Quelle belle pièce ! Et qui canonne sa décharge très loin ! Je comprends votre surprise et votre admiration ma fille. Puis-je l’évaluer de plus près ? Est-elle encore en état de marche après cette démonstration d’arrosage ? Elle s’avança juchée sur ses hauts talons, et s’empara de la queue encore bandée. En bonne connaisseuse de la mécanique masculine, elle fit tout pour entretenir l’érection de notre étalon. D’abord elle la prit en mains et flatta la base du gland hyper sensibilisé par l’éjaculation qu’il venait de ...