Mon beau père
Datte: 09/02/2019,
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Dans la zone rouge,
... bruyamment, réclament pour qu’il continue à me baiser. S’il a juté, il n’en bande pas moins et me maintenant par les hanches , il enduit mon petit trou de sperme s’écoulant de ma chatte et son gland vient frotter l’anneau ; ce n’est pas pour moi une possession que j’apprecie et souvent , je me refuse à jean quand il veut me sodomiser ; j’essaie de lui dire mais il ne m’écoute pas ; il a decidé de me soumettre et cela fait partie de son plan car petit à petit, il pousse sa queue dans le conduit qui malgré la douleur s’ouvre pour accepter le mandrin ; quand il a pris totalement possession de mon cul, il s’arrete avant de commencer à me pilonner sans ménagement ; je crie, je rue, mais rien n’y fait ; il me sodomise, à sa façon, montrant ainsi sa puissance et sa détermination de m’avoir complètement à lui. Continuant à me saillir, il m’interpelle » « Tu aimes que je te baise, que je te saillie comme une petite femelle, que je te féconde » « …….. » une claque s’abat sur mes fesses « répond » « Oui j’aime que tu me prennes et que tu me fasses jouir » « Tu es à moi, je te baiserais quand je le voudrais, je te ferais jouir comme j’en aurais envie « « Oui fais ...
... de moi ce que tu veux, baise moi encore, j’ai envie de ta queue, de ton sperme, que tu me prennes comme une chienne « Il continue à me prendre, toujours raide, m’emplissant, me dilatant le cul, comme jamais il ne l’avait été ; je jouis en continu, affalée sur le lit, écartant mes fesses pour qu’il me possède plus profond ; en fin ses jets me remplissent, m’amenant à une bruyante et profonde jouissance. C’est le bruit de la voiture qui me fait revenir à la réalité. Il se retire dans sa chambre en me disant : « Je t’attends dans ma chambre, ton homme sait que je viens de te baiser et que cette nuit, tu vas la passer avec moi ; nous étions d’accord, et à partir de demain, tu seras à notre disposition, à tous les deux ou seulement à moi seul. » éberluée, je comprends alors que j’ai été leur jouet et quand jean arrive, lui montrant le sperme s’écoule sur mes cuisses, je le regarde et me dirigeant vers la porte : Tu as voulu m’offrir à ton père, pour toi aussi en profiter ; tu lui as permis de mettre le feu dans mon ventre , mais cette fois c’est toi qui va etre brulé ; je vais le rejoindre et tu pourras m’entendre jouir sous ses assauts ; tant pis pour toi »