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Le Resort (15)
Datte: 15/08/2017, Catégories: Trash,
... J’écarte ses grandes lèvres humides. Ma langue cherche son bouton d’amour. Pas difficile à trouver, j’ai même l’impression que c’est lui qui me cherchait. Le contact est électrisant. Les genoux de ma gouine d’amour fléchissent sous l’intensité des sensations. Les gémissements de la fille sont maintenant au rendez-vous. Son entrejambe dégage un parfum de cyprine exaltant alors que son cul m’enivre de ses vapeurs sauvages. « Prends-moi, prends-moi, Simon!» Son ton est maintenant suppliant. Je sens qu’elle n’en peut plus, ses gémissements et ses ondulations de corps m’appellent de plus en plus fort. Le pieu va maintenant entrer dans le fourreau. Elle le sait. Elle le sent. Toujours appuyée sur la commode, le nez presque en contact avec la surface de bois, elle sent son vagin se fait envahir, doucement mais avec autorité, par un imposant pénis chaud et déterminé. Je pousse lentement jusqu’au fond de sa grotte. Un cri de plaisir à peine étouffé s’est fait entendre. Elle sent qu’elle va jouir bientôt, l’attente était trop forte. Mais elle n’a encore rien vu. Pendant qu’elle reste appuyée sur la commode de bois, nos sexes soudés, je la saisis par les cuisses et ses pieds quittent le sol. Maintenant complètement à l’horizontale alors que je demeure debout, elle noue ses pieds derrière mes reins. La tenant toujours de la sorte par les cuisses, je la pilonne comme seul un mâle sait le faire. J’admire en même temps ce corps d’athlète qui s’est abandonné à moi, ces épaules musclées, ces ...
... fesses et ces cuisses de nageuse olympique. Le micro-bikini laisse encore timidement paraître sa marque sur cette anatomie virginale. À chaque coup de butoir, elle me répond par un cri ou un gémissement de plaisir. À chaque mouvement, je vois ses ballons fermes rebondir sur mon bas-ventre. Je la sens de plus en plus proche de l’orgasme. Je contrôle mes mouvements : je ne veux pas me répandre en elle. J’ai une autre tâche à compléter sur son trou numéro deux qui me regarde pendant que je m’occupe de son voisin d’en avant. Les secousses la saisissent, je la maintiens en place alors qu’elle connaît des spasmes de jouissance et qu’elle crie comme une perdue, noyée dans son extase. « Redresse-toi maintenant. » Nous restons en coït. Elle redresse son dos et le colle sur ma poitrine. Elle m’entoure de ses bras par en arrière. Ses genoux sont pliés et ses pieds toujours noués, maintenant derrière mes cuisses. Le soutenant par les hanches, je la transporte sur le bord du lit sur lequel elle dépose les genoux. Nous haletons à l’unisson. Elle libère mes cuisses de son étreinte et se positionne en levrette, agenouillée sur le bord du matelas. Demeurant debout derrière Alicia, je reprends lentement les mouvements qui l’ont amenée au septième ciel. Au moment de répandre mon baume apaisant, je me retire de cette grotte qui veut continuer de m’aspirer. Un peu d’air s’y engouffre pendant que mes jets blanchâtres s’échappent et s’écoulent sur sa rondelle sauvage et serrée qui a encore besoin ...