1. Ma femme ! maligne et insatiable de sexe (5)


    Datte: 10/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Les deux jours suivants nous sommes allés à la fête familiale de la sœur de notre hôtesse et le vendredi matin, nous sommes retournés à la maison. Nous étions un peu fatigués et nous avons dormi jusqu'à midi. Vers quinze heures, la voisine du dessous, arabe, a informé notre hôtesse que sa fille vient de se fiancer et nous invite, ainsi que les voisins, à leur fête, pour ce soir, vers 18h. Notre plan d’aller trouver nos amants, ma femme et moi est donc tombé à l’eau. Mais ma femme a été plus astucieuse que moi, elle a trouvé un stratagème pour se faire baiser par son amant algérien. Elle a soufflé à notre hôtesse l’idée d’inviter ce pauvre marchant de légumes, algérien, vivant loin de sa famille, et le faire passer pour mon cousin. J’étais estomaqué mais notre hôtesse a accepté et a envoyé ma femme pour informer le marchant tout de suite. Ma femme sautant sur l’occasion, est parti inviter notre amant vers 15h trente. Très rapidement je l’ai suivi de loin et lorsqu’elle a atteint le marché, le jeune homme lui a ouvert rapidement sa caravane. Sevrée de sexe depuis trois jours, ma femme s’est jetée dans ses bras, dehors, devant la caravane et ils se sont embrassés avec fougue. Les grosses mains du marchant étaient sur les fesses de ma femme et il les pétrissait de désir. Ses gestes de possession sur ma femme m’ont excité et mon sexe commençait à durcir. Ils se sont embrassés longuement et ma femme ondulait du corps contre celui de son amant qui devait certainement bander comme un ...
    ... taureau. Je me disais « zébi ! ech’haal rah ihiss fi e’skhanat batan wa souwat marty ! » ( zebi ! comme il doit sentir la chaleur du ventre et du sexe de ma femme !). Puis ils ont pénétré dans la caravane et fermé la porte. Je me suis glissé derrière et par la petite fenêtre, je les ai vu se déshabiller en vitesse. Puis, à cause de leur désir affolé, il a plaqué ma femme contre le mur et soulevant sa jambe droite, il a pénétré son gros zob dans la chatte de ma femme, avec un cri de victoire. Comme à son habitude ma femme a aussi crié et « ah ! ech’haal twahachtou ! hadha e’zeb lakhchine ! » (ah ! combien je l’ai désiré ce gros zob). Les vas et viens du jeune homme étaient d’une puissance et d’une rage telle que j’ai eu peur pour le sexe de ma femme, et je voulais lui souffler « bi chwya ! bi chwya ! ya sahbi ! khalili souwat marti e’s’hiha bach e’nik’ha ana thani ! » (doucement ! doucement ! mon ami ! laisses la chatte de ma femme saine ! pour que je puisses la baiser moi aussi !). Et je me branlais derrière la caravane. Après une bonne vingtaine de vas et viens, le marchant a dirigé ma femme vers son lit et lui soulevant les jambes et écartant ses cuisses, il replongea son gros zob dans les entrailles de mon épouse totalement étourdie par le plaisir et qui murmurait « doukkou ! zid nikni bezzaf ! e’zeb lahlou ! rah hbib souti » (enfonces le ! continue de me baiser fort ! le zob merveilleux ! c’est l’aimé de ma chatte !). Et le gars s’enfonce et se redresse puis s’enfonce de ...
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