(Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 4
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... l'attendant.Une demi-heure plus tard, Joss fut de retour. Elle avait revêtu un peignoir léger et vint se blottir contre ma poitrine. Décidément, je ne pouvais pas lui en vouloir longtemps, dès que je l'avais devant mes yeux, elle me faisait fondre. J'étais vraiment né pour être cocu et le rester. Ma seule consolation, c'était de savoir qu'en dépit de tout, elle m'aimait et j'en étais persuadé.- « Je te préviens mon chéri, ce que je vais te raconter ne va pas toujours être facile à dire. Non pas de par la nature des actes que j'ai eus à subir ou à faire, encore que, peut-être, mais surtout parce que durant deux périodes précises vécues au cours de cet après-midi, je me suis trouvée dans un tel désordre psychique et cérébral que je vais avoir quelques difficultés à me remémorer clairement ce que j'ai vraiment ressenti et vécu. Pendant de brefs instants je me suis retrouvée en plein délire à tel point que sur la fin mes compagnons devaient se demander si je n'étais pas en train de perdre la raison. Je me le demande moi-même actuellement d'ailleurs.- « Oh là! Tu commences à m'inquiéter!- « Bon, je commence. Ce matin, comme l'avait demandé Jean hier, j'étais donc prête dès 6h30. Mais j'étais triste que tu ne sois pas la pour te dire au revoir, triste et surtout inquiète, j'avais peur que tu ne reviennes pas! Donc, pour l'occasion j'avais revêtu un fuseau noir en lycra - évidemment, pensais-je, celui qui épouse si parfaitement les formes de ses cuisses et de ses fesses, elle a dû ...
... en affoler quelques uns - pour le haut, j'avais opté pour un pull noir moulant puis, enfin, emporté un blouson de cuir pour me protéger du froid matinal. Comme convenu, j'avais chaussé des bottes de caoutchouc pour affronter les chemins que nous devions emprunter. Par ailleurs, et toujours pour respecter les souhaits de Jean, j'avais prévu un change pour l'après-midi en emportant une jupe, un chemisier, des bas et porte-jarretelles ainsi que des escarpins. C'est donc ainsi équipée que nous partîmes sur le lieu de rendez-vous à 50 kms d'ici en Belgique.Dès notre arrivée, une collation était prévue: café, thé et viennoiseries. Une cinquantaine de personnes étaient présentes, chasseurs, rabatteurs et quelques invités dont je faisais partie. Après la lecture des consignes de chasse, je me joignis à Jean pour rejoindre le poste qui lui avait été désigné. Et commença la longue attente. La battue devait se terminer vers 12h30. Mais de 8h à 11h, il ne se passa rien, on entendait seulement les rabatteurs faire un bruit d'enfer au loin. Pour passer le temps, Jean, de temps en temps, me faisait venir près de lui et il me pelotait le cul et les seins, il m'embrassait. Mais il gardait toujours un œil vigilant au cas où un gibier viendrait à surgir, de ce fait, il ne pouvait pas m'entreprendre trop loin Enfin, vers 11h, les premiers gros gibiers se mirent à traverser la trouée où l'on se trouvait, et les coups de feu fusèrent de tous côtés: du gibier passait, d'autres gibiers tombaient. Le ...