(Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 4
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... quitté le mien, je vis son visage s'approcher, ses lèvres vinrent doucement s'appuyer sur mes lèvres, sa langue chercha à s'insinuer à l'intérieur de ma bouche. Cette expérience était pour moi nouvelle, jamais je n'avais embrassé une femme. Au bout de quelques secondes, je cédai. Nos langues se mêlèrent, nos salives se mélangèrent. Nous avions toutes les deux les yeux fermés et savourions ce baiser saphique, somme toute pas désagréable.Un silence total régnait dans la salle. Les hommes retenaient leur souffle, des pantalons commençaient à se déformer.C'est alors que je sentis les mains de Manon descendre dans mon dos, elles atteignirent mon postérieur. Puis elles se saisirent du tissu de ma jupe et entreprirent de le remonter. Après quelques difficultés à faire passer la rotondité de ma croupe, je me retrouvai avec les fesses complètement à l'air, d'autant que ce matin j'avais revêtu un string dont la ficelle était bien évidemment complètement enfouie au plus profond de mon sillon fessier, donc invisible. Elle entreprit de me masser vigoureusement les deux fesses ainsi exposées aux regards lubriques des spectateurs. Pour ne pas être en reste, j'entrepris la même manœuvre vis à vis de ma cavalière. Elle avait une culotte. Je passai une main sous l'élastique et lui caressai les fesses à la peau que je trouvais très douce. Je laissai ma main s'égarer dans le sillon et vint lui titiller son petit œillet qui n'eut pas l'air de trouver le geste osé.C'en était trop pour les ...
... hommes en rut. La bande de soudards fondit sur nous. Nous nous trouvâmes ballotées, malmenées. En un clin d’œil, nous fûmes nues. Ils ne me laissèrent que mon porte-jarretelles, mes bas et mes escarpins.Tu te doutes que la situation n'était pas pour me déplaire. C'est avec délectation et délice que je me livrai à ces mâles mains baladeuses et indiscrètes, à toutes ces bites si fièrement dressées et impatientes. Il m'est impossible de te décrire en détail ce qui s'est ensuite passé. Je me suis retrouvée sur le ventre, sur le dos, à quatre pattes, allongée sur un homme dans un sens, puis dans l'autre, mais ceci toujours en ayant un, deux, voire trois sexes enfilés dans un orifice ou un autre. Ce fut un feu d'artifice de jouissance, de cris, d'orgasmes répétés. Je fus inondée de sperme, il m'en coulait de devant, de derrière, même de la bouche car je n'avais pas le temps de tout avaler.Et puis les corps se fatiguèrent, surtout les couilles des hommes qui n'avaient plus le temps de se recharger. Les accouplements devinrent de moins en moins actifs, le silence s'installa peu à peu.C'est alors que cela se passa.J'étais à genoux, penchée sur une verge dont j'essayai de rendre un semblant de vigueur, un pénis venait de quitter mon vagin où il avait répandu avec difficulté un restant de sperme, lorsque je sentis soudain une langue râpeuse passer et repasser sur ma vulve. « C'est impossible qu'un homme ait une telle longueur de langue » me dis-je. Je jetai machinalement un coup d’œil ...