(Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 4
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... une jouissance phénoménale m'envahit, je hurlai dorénavant mon plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succédèrent. Je plongeai alors dans un état de demi-inconscience. J'étais désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Je devins son esclave, sa servante, sa soumise. Commande Maître, je t'obéirai! Le liquide reproducteur continuait à se déverser dans le vagin, dans l'utérus, il allait, il voulait me féconder. Une joie sans fin m'envahit à l'idée de lui fournir une belle portée de chiots. Ta femelle en prendra soin, n'aie aucune crainte. Continue ton travail de mâle procréateur. Je suis à toi, pour toujours. Désormais je vivrai nue, je ne te quitterai plus, toujours prête à t'ouvrir la voie de mes organes génitaux afin que tu te libères selon ton bon vouloir et jusqu'à ce qu'enfin je te procure ta progéniture. Je n’entendais plus aucun son en provenance de mon environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui me paralysait jusqu'à la pensée et l'esprit.Et puis, comme un brouillard qui se lève, je repris peu à peu conscience, mais j'eus quelques difficultés à me repositionner dans le temps et dans l'espace. C'est le chien qui m'y aida lorsque je perçus la présence de sa formidable musculature sur mon dos et ses pattes qui me faisaient sienne.Mes entrailles étaient toujours aussi tumultueuses, c'est un volcan qui me brûlait le bas-ventre, mon vagin était énorme mais j'étais bien, fière d'avoir appartenu à ce ...
... merveilleux a****l, fière d'avoir accueilli toute sa semence dans mon corps, fière de ne faire qu'une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui me tenait soudée aussi solidement. Nos deux corps étaient littéralement collés l'un à l'autre, ils étaient solidaires et ne formaient plus qu'un.Quelque chose s'était passée lors de cet accouplement, une forme de communion avait uni la femme et la bête, un lien spécial que je sentais fort et que je ne pourrais désormais plus ignorer.Au terme de quelques instants que je serai bien incapable de chiffrer dans la mesure où je ne savais pas combien de temps avait duré mon inconscience, je sentis son frein se dégonfler et, sous la pression énorme existant dans mes entrailles, tout fut éjecté. Des flots de sperme s'écoulèrent sur le sol, m'arrosant les cuisses et les mollets. Je ressentis un sentiment de vide extraordinaire dans mon ventre, comme si toutes mes entrailles avaient été expulsées avec le liquide. Mon Maître - mais pourquoi je dis « mon Maître »? Qu'est-ce qui m'arrive? - me donna quelques coups de langue sur la vulve béante et baveuse et s'éloigna, sans un regard pour sa femelle, pour s'allonger plus loin et prendre un repos bien mérité.Jean s'agenouilla alors près de moi et me dit:- « Ça va? Tu nous as fait peur! Tu poussais des hurlements effroyables, on se demandait s'il ne t'avait pas causé des dégâts à l'intérieur!- « Non non! De ce côté là tout va bien! Par contre dans ma tête je ne sais pas encore bien où j'en suis. Ça ...