1. Des clients bien servis !


    Datte: 10/02/2019, Catégories: Première fois

    Je me souviens, nous avions encore notre restaurant. Un couple de copains s’éternise après le départ des derniers clients ; pour ne pas être importunés par un client trop tardif, la porte est fermée et les rideaux tirés. Nous dégustons un dernier verre offert par les patrons (nous) tout en papotant. Je suis à côté d’Arlette, ma chérie en face à côté de Jacky, le mari d’Arlette. Lui plutôt bel homme, moustachu. Elle, je dirais « banale » brune, un peu ronde, surtout du cul ! Mais sympa. Il m’est déjà arrivé à d’autres occasions, assis à ses côtés, de coller ma cuisse à la sienne pour voir sa réaction. Oui, je suis assez dragueur, elle n’a jamais reculé pour rompre le contact… c’est d’ailleurs l’occurrence ce soir. Dans la conversation, nous parlons d’aménagements que nous venons de faire dans la réserve. Surprise ! Jacky demande à ma chérie: - Dis donc, tu devrais me montrer, cela m’intéresse. Bizarre ! Vous avez dis bizarre ? En quoi cela peut-il l’intéresser ? Ce n’est pas du tout son secteur d’activité ! Voudrait-il se retrouver seul avec ma chérie ? J’ai déjà remarqué son intérêt pour elle, disons pour son physique, reluquant son décolleté ou ses jolies jambes lorsqu’elle est en minijupe, ce qui est le cas ce soir. Assis à côté d’elle, il a dû en profiter. - Si tu veux, lui répond ma femme. Les voilà partis vers les arrières. - Je ne crois pas qu’il s’intéresse vraiment aux travaux, dis-je à Arlette ; je pense qu’il s’intéresse davantage à ma chérie ! J’en profite pour, ...
    ... en plus de la pression de ma jambe, poser ma main sur sa cuisse, elle ne bronche pas et dit : - Tu as sans doute raison, ta femme est très jolie, et plus d’un souhaiterait certainement pouvoir en profiter… Je sais que c’est le cas, et comme nous sommes libertins, plus d’un en a effectivement profité, je l’ai déjà vue jouir des coups de reins de quelques amis intimes, le plus souvent en profitant moi-même de la compagne de l’ami ! Ma main fait remonter la jupe de notre amie et est au contact de sa cuisse dénudée. Nous sommes en été ; pas de bas. Je commence à bander. Elle ne réagit toujours pas. Je monte d’un cran et frôle le tissu de sa culotte. Elle me regarde. Arlette : - J’aime bien quand tu presse ta jambe contre la mienne, comme cela t'es déjà arrivé, mais là je sens ta main sur ma peau. Oh ! Ta main remonte, elle touche mon sexe au travers du tissu de ma culotte. (C’est trop bon ! Je crois que je mouille…) Oui, laisse ta main, j’aime. Je ne suis pas jolie comme ta femme, j’aimerais bien te faire bander quand même. -Tâte, tu verras par toi-même ! C’est vrai que dès que j’ai senti le contact de sa chair nue j’ai commencé à durcir dans mon slip. Sa main s’est posée sur ma braguette. - Mais c’est vrai, tu bandes ! Oh, caresse-moi la chatte, j’en ai envie ! Je ne me fais pas prier et un doigt glisse sous le tissu pour rencontrer une fente ma foi bien humide. Elle me branle au travers de mon jean. Arlette : - Tu bande ! Je la sens bien, c’est trop bon de te caresser. Tu aimes ...
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