1. Un anniversaire à Paris


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fh, fête, anniversai, douche, amour, volupté, Oral pénétratio,

    Il fait un grand soleil. Je regrette déjà d’avoir accepté l’invitation de mon amie : aller à l’anniversaire de l’un de ses amis, que je ne connais pas. Elle n’avait pas envie d’y aller seule. La sonnette vient de retentir à la porte d’entrée. Ah c’est elle, je ne lui ai pas demandé comment je dois m’habiller, si c’est des jeunes, des moins jeunes… — Entre ! La porte est ouverte. Elle me rejoint vers mon miroir où je regarde une dernière fois mon allure pour me confirmer que je devais être assez soft, en principe, donc aucun souci. Je vois de suite, à sa tête que ça ne va pas trop. Je la regarde, elle me sourit. Je vais au-devant d’elle et me renseigne. — Mon tailleur t’embête ? Avec bien de la peine, elle m’avoue que c’est une bande de jeunes, motards jusque dans la peau et fous de musique rock. Evidemment, je suis à côté de la plaque, j’aurais dû lui demander avant. Il y a du soleil, je n’ai tellement pas envie d’aller à cette réception ! Je pourrais profiter de ces derniers rayons de soleil sur la terrasse d’un café, observer les passants ; j’adore observer les personnes devant moi… Elle voit mon désarroi, elle sait que j’ai horreur d’aller dans ces assemblées, elle me dit toujours que je fais partie des sauvages. Je suis seule dans mon deux-pièces, situé à la Place de la Concorde. Métro-dodo fait partie de mon vocabulaire, mais voilà, mon amie que je connais depuis toujours a envie que je sorte, que je fasse des connaissances, que je m’amuse. Sans un mot, elle ouvre ...
    ... mon armoire, passe ses mains sur mes divers cintres et ressorts quelques tenues. — Tiens, essaie-moi ça. Alors que je passe une deux trois tenues différentes, elle me sourit et me demande quand je les porte, car elle ne m’a jamais vue avec ces accoutrements. C’est vrai, j’adore certaines matières, mais ne les mets seulement quand je suis de sortie, hors de Paris. Je ne sais pas trop pourquoi, c’est comme ça. Enfin prêtes, nous sortons de l’immeuble et je la suis. En bas de l’immeuble, son mari, très galant nous attend, portière ouverte. — Hé ben, les filles, vous avez mis du temps !— Désolée, c’est de ma faute, répondis-je très rapidement. Son mari est adorable, un frère pour moi, toujours très attentionné, charmeur, une voix douce et en plus, mignon… Mon futur mari sera de ce genre. Il me regarde d’un œil interrogateur et je me sens gênée, mais il ne dit rien, très poli, il se garde de me dire quoique ce soit, afin de ne pas me gêner. Le trajet, d’abord en silence, se fait de plus en plus joyeux au fur à mesure que l’on approche. Katia est ravie de revoir ce groupe d’amis qu’elle a laissé un peu de côté, suite à son mariage, mais qui lui rappelle son passé, pourtant pas si lointain. Moi, sur la banquette arrière, je regrette amèrement de l’avoir laissée fouiller mon armoire ; nous avons choisi un pantalon de cuir noir, un top blanc en satin. J’adore mon ensemble, je me sens bien dans cet accoutrement, mais si je retrouve une collègue, une amie dans cette espace festif, que ...
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