Lorsqu'une porte s'ouvre
Datte: 11/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
uro,
init,
... progresser en elle, toujours délicatement jusqu’à ressentir son être entier sur ma verge, et pouvoir apprécier le moindre spasme anal. Je suis loin, loin, si loin, je peux à peine bouger et mon corps se blottit alors contre son dos. Les bras repliés, deux de ses doigts se faufilent dans sa bouche entrouverte. Ma main, elle, se fraie un chemin entre sa cuisse et l’oreiller, parcourant l’aine pour atteindre ce pubis et son antre. Je la caresse encore et encore, et nos corps se remplissent et se vident tour à tour, ma pénétration se fait plus ample et plus rapide, sa respiration aussi… et j’entends de ses lèvres souriantes : — Oui, encore… Nous inspirons, c’est bon. L’attouchement de ses fesses souples contre mes hanches me remplit de douceur. Je la caresse encore et encore, à l’extérieur, à l’intérieur… Nos muscles se contractent ! Elle me repousse soudain, je me retire sans la brusquer… elle se roule sur le côté, recroquevillée, haletante, les mains sur le visage cachant ses yeux clos, comme pour laisser s’échapper une vague déferlante et mieux reprendre son souffle, sa respiration avant de replonger… Elle rouvre les ...
... yeux, me regarde me sourit et m’attire sur elle. Prenant ma verge dans ses mains, elle la guide jusqu’à son vagin, se caressant au passage… et nos corps reprennent leur chorégraphie, assurée maintenant, libérée du moindre doute. Ma bouche rejoint la sienne, et embrasse tout au passage : ses joues, son menton, son cou, ses sourcils, ses lobes ; mon bassin se balance, mes mains retrouvent enfin la rondeur de ses seins. Le rythme est soutenu, nous vivons nos derniers instants : — Catherine, Catherine, je… je… Et dans un mouvement effréné, je me vide en elle, l’orgasme emporte tout sur son passage, mes idées s’envolent, entrant, sortant sans retenue, plusieurs fois, encore, encore… avant de m’effondrer. Mon corps est à bout, à bout de souffle, fatigué, lourd, chaud, détendu, repu… ma joue contre son oreille, ses mains dans mon dos, je l’aime. Je l’aime. J’aperçois par la fenêtre ouverte le feuillage d’arbres élancés qui danse et chante au vent. La lumière se déverse lentement, nous nous baignons, nous étions si loin… ﭛ Ma femme me dit incorrigible, lorsqu’en fin de journée, je dépose au creux de ses mains ce petit mot : FIN