1. Romane et les plaisirs solitaires (ch1)


    Datte: 15/08/2017, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... emparé et j’ai dévalé l’escalier. Sauf que c’est en possession de deux clefs USB que je me suis retrouvé une fois là-bas. Deux Kingston rigoureusement identiques. J’en ai ouvert une. La première venue. Au hasard. Et je me suis trouvé devant une quinzaine de dossiers sobrement intitulés Romane1, Romane2, Romane3, etc. J’ai hésité. Pas bien longtemps. Quelques secondes. Et j’ai cliqué sur le premier. C’était une vidéo. Complètement nue sur un lit – ce n’était pas chez nous – elle s’attisait fougueusement le bouton, d’un doigt avide, les jambes écartées au large, la tête renversée sur l’oreiller, les yeux mi-clos. J’ai précipitamment fermé, vaguement honteux, vaguement coupable, de pénétrer ainsi, comme par effraction, dans ce qu’elle avait de plus intime. Et je me suis efforcé de me mettre au travail. Sans grand succès. Je ne pouvais penser qu’à ça, qu’à ce que j’avais là, à portée de main. Vingt fois, j’ai été tenté d’y retourner. Vingt fois, j’ai résisté. Et j’ai fini par craquer. Je n’étais pas un héros. L’occasion était trop belle. Je suis allé la retrouver. Son doigt tourbillonnait de plus en plus vite, se faisait de plus en plus exigeant. Elle a haleté, doucement gémi, brusquement clamé : « C’est ça ! C’est ça ! », s’est introduit le majeur et l’index de l’autre main dans son antre d’amour, les y a voluptueusement fait aller et venir. « C’est bon ! C’est bon ! C’est bon ! Oh, que c’est bon ! » Ses fesses se sont soulevées. Elle a donné de grands coups de bassin ...
    ... précipités vers l’avant. Et elle a rugi un plaisir qui a déferlé en grandes vagues moutonnantes. Le mien a aussitôt surgi, à grandes saccades éperdues.Elle a repris son souffle. Et ses esprits. « Ouche ! Ce truc de malade ! Non, mais comment j’ai joui ! » Et elle est restée là, un bras sous la nuque, les yeux au plafond. J’en ai profité pour me repaître d’elle. Tant et plus. De ses seins en pente douce délicatement veinés de bleu. De son ventre. De ses cuisses. De ses épaules. Et de la douce fente restée entrebaîllée avec ses trésors rosés, tout ondoyés encore du bonheur qu’elle venait de s’octroyer. Elle s’est retournée, calée sur le ventre, m’offrant ses fesses, monts et vallons, que j’ai pu arpenter tout à loisir. Et tout s’est arrêté.En bas la porte a claqué. Le pas de l’architecte dans l’escalier.– Ça va comme tu veux ?Ça allait, oui, merci. Et j’ai fait mine de m’absorber dans un document LibreOffice que je venais d’ouvrir en catastrophe. Sans parvenir à me concentrer le moins du monde. Trop de questions se bousculaient dans ma tête. C’était quoi au juste cette vidéo ? On la voyait s’y masturber, oui, bon, d’accord. Mais qui l’avait faite ? Elle ? Quelqu’un d’autre ? Dans quel but ? Et qu’est-ce qu’elle fichait sur la tablette de l’ordinateur ? L’y avait-elle oubliée ? Délibérément laissée ? Et le reste ? Les quatorze autres dossiers ? Je brûlais désormais de l’envie d’aller voir ce qui s’y trouvait. Et l’autre qu’arrêtait pas de me tourner autour, d’ouvrir des classeurs, de ...