1. Je me fais défoncer par mon oncle (11)


    Datte: 11/02/2019, Catégories: Trash,

    ... qu’il lui verse l’eau bénite sur le front, j’ai sentie sa main frôler une de mes fesses. Ça m’a fait tout drôle et ça m’a excitée. Alors donc, je me prépare. J’enfile une jupe noire assez sobre, qui s’arrête au haut du genou. J’aime bien cette jupe, elle moule parfaitement mon cul rond et comme je ne porterai pas de culotte, il n’y aura pas de marques disgracieuses sur mes fesses. Je choisi ensuite un soutient-gorge de dentelle blanche, le genre qui remonte mes seins pour me faire une raie incroyablement invitante. Je recouvre le tout d’un chemisier blanc, lui aussi très sobre. Je laisse mes cheveux raides tomber sur mes épaules et je me maquille, mais pas trop. Bien que je sois une salope, je ne dois pas me maquiller comme telle. Les pires salopes sont les plus discrètes. Tonton Jacques arrive enfin. — Oh là là!! Tu es vraiment jolie tu sais! — Tu trouves? Ça ne fait pas trop salope? — Non, pas du tout. Un petit air cochon, tout au plus. — Viens là… Je l’attire à moi et nous nous embrassons. Je bouffe sa langue, déjà excitée à la pensée de ce que je m’en vais faire. Il masses mes fesses et relève ma jupe. — La cochonne… elle n’a pas de culotte! — Tu aimes? — Oui! Je te retournerais bien sur le mur et je te limerais bien fort ma petite salope. — Arrête, je dois partir… — Bon, très bien. Tu me raconteras tout? — Oui, sois sans crainte. — À plus tard. Un dernier baiser et je quitte pour l’église. À mon arrivée, il y a déjà du monde. Je vais dans la file de droite. Il y a une ...
    ... personne devant moi. C’est madame Julie. Une dame dans la cinquantaine, très gentille. Nous discutons tout bas, et puis, vient son tour d’entrer dans le confessionnal. Trois autres personnes font la file derrière moi, et autant dans la file de gauche. Ça m’excite d’aller faire des saloperies dans un confessionnal avec des gens qui attendent à l’extérieur! Madame Julie sort enfin. J’entre et m’agenouille. Je déboutonne quelques boutons de mon chemisier et replace mes nichons dans leurs bonnets pour améliorer ma raie et je mets le tout en évidence en me penchant vers l’avant. Le curé Émile termine avec la personne de gauche et ouvre le panneau derrière le grillage de mon côté. Ses yeux se portent immédiatement sur mon décolleté. Comment aurait-il pu faire autrement? Son regard s’illumine quand il voit mon visage, mais il reste solennel. — Dis-moi tes péchés mon enfant. T’accuses-tu de quelque écart de conduite? — Oui mon père, j’ai péché. — Quel genre de péché? — Le péché de la chair, mon père. Je fais une moue de gamine fautive en baissant la tête et en le regardant avec des yeux de chiot triste. — Je vois. Et… — Il y a autre chose mon père… — Oui? — Le plaisir solitaire. Je me touche souvent. — Ah bon… Et tu aimes ça? — Oh oui. Vraiment beaucoup mon père. — Et tu le fais souvent? — Six ou sept fois par jour, mon père… Il fait une légère pause, comme pour accuser le coup. — Et tu penses à quoi quand tu te touches les parties intimes? — Je pense à des hommes qui mettent leurs ...