1. Deux ouvriers consencieux


    Datte: 11/02/2019, Catégories: Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe

    Alors que nous venions d'acheter une maison à restaurer en pleine campagne, nous avons fait appel à des ouvriers pour nous aider dans ces travaux. Comme je ne travaillais pas à ce moment là, je pouvais surveiller l'avancée des travaux.C'est lété et il fait chaud. Je décide donc de prendre le soleil à l'abri des regards sur mon terrain. J'installe un transat sur la pelouse, me met nue avec sous la main un peignoir au cas ou, et m'allonge pour profiter du soleil qui darde. Pendant ce temps, j'entends les ouvrier qui bossent dans la maison. Tant que j'entends du bruit c'est qu'ils ne sont pas à me mater.Il fait si chaud que lesouvriers travaillent en short.J'arrive à deviner leurs conversations.« On se croirait dans un sauna dans cette baraque ! »« Oui t'a raison même avec les fenêtres ouvertes c'est une étuve ! »Alors qu'il se penche à la fenêtre pour faire une pause, l'un d'eux s'écrit :« He ! Viens voir ça ! »« Qu’est-ce qu’il y a? »« Viens mater la proprio j'te dit! Elle est à poil !»Quand je les entends, j'ai le réflexe de vouloir me couvrir. Et puis non, tout compte fait, je vais jouer les salopes et fait celle qui n'a rien entendu. Je me retourne même en me cambrant pour bien les allumer.Son copain se précipite à la fenêtre et me découvre à entrain de me retourner laissant à leurs regards avides mon intimité féminine.Il s'exclame clairement :« La salooope… ! Elle est bonne. J'me la f'rais bien ! »Son collègue reprend :« Ouais, même super bonne cette pute ! »« Parlons ...
    ... plus bas ! Si elle nous entend, elle va se rhabiller. »« T’as raison, on va pouvoir continuer à la mater cette grosse salope ! »De les entendre parler de moi dans ces termes, j'en ai des fourmillement dans le bas ventre et je sens mon corps réagir agréablement. Je me dis :« Il ont raison. Je suis vriment une salope de me laisser mater ainsi et de mouiller à les entendre parler de moi comme une pute à sauter ! »Puis, sans penser aux ouvriers, je me laisse aller et me caresse le corps, les seins, le sexe. Les mecs n'en perdent pas une goutte et je suis certaine que de me voir me caresser, leurs sexes doivent être au garde à vous. Le plus âgé dit à son copain :« Elle est peut-être bandante cette salope mais il faut qu'on se remette au taf ! »« Oui, t'as raison mais je bade comme un âne ! »Ils retournent malgré tout au boulot, leurs sexes encore en érection. Je suis presque déçu qu'il se remettent au travail. Il fait vraiment chaud. J'enfile mon peignoir de bain et vais me prendre une bière blanche citron dans le frigo en me demandant :« Que font mes ouvriers aprés m'avoir vu me caresser ? Ils ont du bander comme des vicelards , les salops ! »Je décide d'aller les voir à l’étage. Je les surprends entrain de retourner à la fenêtre pour croyant pouvoir encore me mater. Les deux vicieux on le sexe à la main. Mais le black voit le transat vide.« Merde elle est passée où cette pute ! »D'un air faussement choquée, je leurs dit :« Elle est derrière vous la pute ! Qu’est ce que vous faites ...
«1234»