1. Histoire alternative (2)


    Datte: 12/02/2019, Catégories: Transexuels

    ... pas remarqué ? Merci c’est très flatteur. — Transgenre… je comprend pas, dis-je stupidement. — C’est à dire que je suis un homme qui vit comme une femme. Un travesti lui se déguise occasionnellement. Tu vois ? Et toi, c’est comment ton nom ? — Daniel… Ça alors ! C’est hallucinant. On voit rien d’un mec en toi, c’est fou ! — C’est très gentil. Ma proposition te tente ? Je ne sais quoi penser. Je suis venu pour trouver une bitte, je pense à une nouvelle déconvenue quand je me fais aborder par une fille qui s’avère être une mec ! Et puis comment dois-je lui parler ? Au masculin ou au féminin ? Flûte ! J’hésite. Et puis… — ...OK. — Mon appart’ est juste à coté, rue Foch. Tu viens ? — Je te suis. La rue Foch est à cinq minutes. Julie occupe un F2 plutôt coquet, simple, mais bien agencé et propre. Il est à son image, soigné et rangé. Elle me regarde en souriant avec dans le regard un mélange de gourmandise et de douceur, alors que je me sens tendu. Julie s’en rend bien compte. Elle me prend par la main, m’attire doucement vers elle. — Détends toi, me souffle t-elle. Je vais être très douce, comme si c’était ta première fois. Et tu es tellement beau. On ne te l’a jamais dit ? Moi beau ? C’est bien la première fois qu’on me dit çà. Mais je n’ai pas le temps de m’interroger davantage. Ses lèvres se posent sur les miennes. Elle est tendre. Elle ne cherche pas à me forcer Elle bouge légèrement sa tète pour que nos lèvres se caressent. Je perds la tète. Au contraire, c’est moi qui ...
    ... entrouvre ma bouche, moi qui sort ma langue, qui cherche la sienne. J’ai le vertige. Ses bras se sont refermés sur moi, je referme les miens sur elle. On échange un long baiser, on mêle nos langues, nos salives, oh que c’est bon ! Elle m’a pris la taille, me presse contre elle. Je sens un point dur au niveau de son entrejambe, elle n’a pas menti, elle est vraiment ce qu’elle prétend être. Mais je ne suis pas en reste ! Elle a passé ses mains sous mon tee-shirt, les remonte vers mes aisselles. C’est moi qui finit le mouvement. Je le retire rapidement. Elle en fait autant, découvrant un torse avec deux seins menus, mais fermes. Elle a un corps magnifique, pas un seul poil (?), une musculature discrète, harmonieuse. On reprend nos embrassades, torse contre torse, peau contre peau. Oh mon Dieu, j’ai des frisons de la tète au pieds, et j’ai l’impression que mon sexe va faire exploser les coutures de mon pantalon tellement je bande dur ! Elle m’entraîne avec elle dans la chambre. Un grand lit, une armoire, un petit balcon… A nouveau on s’embrasse suavement. Puis elle se met à genoux, défait ma ceinture, fait glisser mon pantalon… puis mon slip, libérant ma queue qui se dresse instantanément. Elle va me sucer ? Non… Elle se contente de la caresser, elle joue avec. Elle me fait frémir, elle me fait languir… Puis elle se redresse, me pousse sur le lit, et ôte sa jupe et sa culotte. — Tu as une belle queue, me dit-elle, bien raide et ferme comme je les aime. On va passer un bon moment je ...