1. Pas si coincée que ça !


    Datte: 12/02/2019, Catégories: f, fh, fhh, 2couples, inconnu, hotel, caférestau, fsoumise, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, échange, jeu, exercice, portrait,

    ... on a nos codes. Elle me propose :« réaction immédiate ». J’enchaîne : « pouce en bas » pour lui dire« attaque rusée ». Elle « gratte-gratte » l’air de l’index :« Contact direct ». Je finis par mettre mon pouce coincé dans ma paume doigts refermés pour :« enfermer ». Tilt ! Nous avançons vers eux avec notre panoplie de chipies bien visible : sourires ensorceleurs, yeux brillants, corps en feu, envie d’eux. Voilà, nos peaux se touchent. Seins bien fermes plaqués contre leurs torses un peu velus, nous avançons en ondulant, en miaulant presque, comme des chattes excitées. Nos ongles tracent sur leurs dos des sillons rouges. Pas de sang, pas de marques, mais de longues ratures sur leurs peaux comme pour donner un joli coup de griffe à leur programme. Ils nous laissent faire, les gentils matous. — Miaouhhh…— Pschiiii… Un coup de langue, une petite« lape », un« ronron », nous avançons en tournant autour d’eux, avec nos jeux de mains et de langues. Nos minous se retrouvent contre leurs fesses, nos fesses contre la porte de la salle de bain. Et… Trois secondes suffisent pour nous enfermer toutes les deux. Nos habits volent ! Plus que du « rien » sur nos peaux qui ont gardé le bronzage de nos vacances d’hiver au soleil. Un coup d’œil sur le terrain de jeux : Une grande baignoire, deux lavabos circulaires encastrés l’un à côté de l’autre. Le support a l’air très, très solide à la « 3 étoiles » que l’on trouve à deux pas des Champs. Satisfaites, nous ouvrons la porte. Les deux mâles ...
    ... arrivent avec une envie de gonflage immédiat. Pas besoin de mettre ni nos mains, ni notre bouche sur leurs sexes pour leur faire retrouver de la vigueur, nonnn ! On leur fait signe de ne pas nous approcher, alors ils nous regardent. Assises chacune sur une vasque, nous faisons couler l’eau à bonne température. Ensemble nous écartons nos cuisses et en petites giclées prises dans nos mains, nous nous lavons les seins, nous nous caressons la peau, nous faisons couler l’eau du nombril jusqu’à notre sexe. Nous écartons nos petites lèvres. Le jeu n’est pas pour leur déplaire et le visuel a suffi pour qu’ils se montrent à nous dans toute leur splendeur virile. Ils mettent la main pour prendre leur verge et ils s’astiquent sous nos yeux. Les sexes raidissent encore, les glands rougissent. Un désir intense nous gagne, celui de les avoir en nous. Je fais un petit signe de l’index accompagné de : — Moi aussi, j’en veux ! L’un des deux s’approche. Je me penche en arrière jusqu’à coller ma tête contre le miroir qui fait la largeur du mur. Je me rapproche du bord et je bascule mon bassin en avant. Il se plante dans mon fourreau d’un geste dominateur. C’est le maître de mon corps. Je me soumets à sa frénésie sous les yeux d’Agnès et de notre deuxième amant. Ma sœur lui fait signe de la prendre en écartant ses petites lèvres gorgées de sang et en réclamant en même temps : — Vite, ta queue pour mon minou ! Il s’est empressé de l’empaler. Les secousses sont pour nous de plus en plus violentes et ...