Dévergondage d'infirmière (2)
Datte: 15/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... inexpérience se confirme au moment où, après un court instant de ça-va ça-vient, la brunette se met à gémir comme une louve sous la lune, chacun de mes coups de bassin la faisant s’époumoner de plus en plus. Son corps se trémousse, sa chatte se resserre ; la donzelle est en train de jouir. Elle jouit comme une folle possédée, elle jouit tellement que sa voix ne peut plus suivre avec l’émotion. Moi aussi je n’en peux plus, je sens que je vais devoir tout lâcher sinon je vais littéralement imploser ; le problème c’est qu’il en reste une à faire crier. La blondinette espiègle et égrillarde n’a pas encore eu sa dose et je sais qu’elle ne me lâchera pas tant que je ne l’aurai pas fait jouir elle aussi. Je fais une petite pause en libérant Lola, elle aussi en a besoin ; elle est toute haletante et transpirante, les yeux perdus dans le vide en direction du plafond. Sans me vanter, je crois que je l’ai baisé comme il fallait ce soir-là, et pas autrement. Je prie Cathie de faire une mini pause si elle ne veut pas tout recevoir sur elle dans quelques secondes. Cette dernière accepte, à condition que je vienne lui brouter le minou ; décidément elle est définitivement une lubrique obsessionnelle cette nana. Elle ne le sait pas mais j’adore faire les cunnis, mon ex-petite amie m’a dit un jour que j’étais un lécheur de minou hors pair. Je démarre mes léchouilles sur sa fente garnie de petits poils blonds, elle se bascule la tête en arrière et commence à minauder. Mais j’avais encore ...
... sous-estimé le potentiel à mouille de cette gourmande ; dix minutes entières de coups de langue ne suffirent pas à la satisfaire, il fallait que je la baise une bonne fois pour toutes. Pour résoudre ce "problème", je lui sonnai de se mettre en levrette, ainsi cette blondasse allait enfin recevoir la dose qu’elle mérite. Sans se faire prier, elle s’installa confortablement sur ses genoux et les mains, la croupe fermement cambrée vers le ciel de notre Seigneur. D’un geste sec, je m’introduis de nouveau dans cette vulve trempée par la cyprine. Le coup fut tellement dur qu’elle lâcha un cri de stupeur lorsque mon membre lui tapa le fond de son trou. Nous voilà repartis dans une baise endiablée, la coquine sait comment y faire à tout point de vue ; ses hanches suivent ma bite, ses yeux à moitié révulsés m’observent en train de la fourrer comme un clébard enragé. Cette fois c’est la bonne, elle va jouir cette cochonne. pbpssje Lola, qui a fini par reprendre ses esprits, nous rejoint dans notre valse. D’une façon un peu maladroite, elle se place derrière moi et se met à me lécher les boules comme une chienne qui lape sa gamelle d’eau. Je regrette encore aujourd’hui qu’aucun photographe n’a capturé la scène car c’était quelque chose d’unique et de sensationnellement désirable. Ça y est, je vais arriver au bout, je vais donner mes ultimes coups de reins disponibles, après je devrais éjecter toute l’excitation qui s’est accumulée en moi, je le sens. Voyant que ma blondinette n’avait toujours ...