Une vraie découverte - Histoires de Sexe

Une vraie découverte

Mon amour, Comme je savais qu’aujourd’hui tu serais à la rochelle toute la journée, j’ai eu envie de te faire cocu, certes je l’ai déjà fait, mais cette fois je l’ai fait complètement ; voici le récit. Un simple appel allait permettre de réaliser, à la fois tes envies et mes fantasmes. Il est arrivé comme prévu aussitôt ton départ, et comme il le voulait, j’étais en tenue très sexy, disons même un peu salope ; à savoir simplement avec un soutien-sein, celui que tu aimes, un string fendu et avec mes bottes noires. Je savais que j’allais m’offrir sans réserve et déjà un peu de cyprine coulait sur mon entrejambe ; me prenant dans ses bras, il m’a embrassé fougueusement, sa langue me fouillant activement et sans aucune arrière-pensée, j’ai répondu à ses baisers. J’allais devenir sa maitresse d’un jour et je savais que pour une fois, j’allais me livrer à un homme, loin de toi, et sans tabou, j’allais lui offrir mon corps sans réserves. Il ne lui a pas fallu longtemps pour se dévêtir et laisser battre son sexe contre mon corps, puis me faisant mettre à genoux, il m’a pris la tête et m’a fait gober son sexe bandé, d’où perlait une petite goutte au bout de son méat. Il a fait coulisser sa tige de belle facture, dure, épaisse entre mes lèvres, s’enfonçant parfois en gorge profonde, me laissant la respiration courte ; pour lui c’est une première façon de me baiser et sa domination commençait à me donner une douce chaleur dans mon ventre ; j’avais envie de cela , j’avais envie d’être ...

... à lui tout en sachant que je te ferais plaisir ensuite en te le racontant, mais très rapidement le plaisir me l’a fait oublier . Alors que je le suçais avec plaisir, il a commencé à me triturer les seins, pinçant mes petites pointes, les étirant comme tu aimes me le faire et comme tu le sais, j’y suis très sensible et que cette douleur rapidement m’incommode ; j’ai essayé de lui dire, mais il n’en a pas tenu compte et bizarrement, celle-ci s’est envolée ; je ne peux pas dire que cela m’a fait jouir, mais pour une fois je l’ai accepté, sans doute par soumission. Se branlant entre mes lèvres , me pinçant les seins, il a commencé à me dire que j’allais être sa chose, sa femelle , et qu’il allait me faire jouir , que j’allais être accro à ses saillies suffisamment pour que je t’oublie. Soudain j’ai senti sa queue grossir et sentant qu’il allait jouir, j’ai voulu me retirer mais il m’a fermement retenue et ses jets m’ont emplit la bouche, me forçant à déglutir plusieurs fois, avant de se retirer et de finir de jouir sur mes seins. Alors que je pensais qu’il allait reprendre ses forces tranquillement, il m’a allongé sur le canapé, m’écartant las cuisses et posant mes jambes sur ses épaules, découvrant aussi ma chatte, mais aussi le cœur que tu m’avais acheté au cap, pincé sur mon clitoris. Sa bouche est venu l’attraper et doucement , il a tiré dessus , le décrochant « il est inutile, car aujourd’hui, tu es à moi » puis sans tarder il a commencé à me le mordiller, déclenchant une ...