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Séance photo.
Datte: 14/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... tant la double pénétration que je subis me fait parfois manquer d’air. Le photographe fait de plus en plus de photos en gros plan quand soudain, lui aussi sort sa queue et me l’enfourne dans la bouche. J’en ai mal aux amygdales. Je me retrouve avec trois queues en moi, effectivement : un vrai garage à bites. Tour à tour ils me claquent les fesses et elles commencent à devenir rouges et à me chauffer sérieusement. Celui qui est dans mon cul change de place avec le photographe et prend l’appareil et me shoote pendant que je le suce. Je comprends qu’il veut un cliché de sa giclée sur mon visage. Celui qui est dans ma chatte sort également et se rapproche aussi de mon visage. Je sais ce qu’ils veulent : me cracher leur sperme au visage ou dans la bouche. Je les branle et suce chacun leur tour. Ils crachent leur jus quasiment en même temps, j’en ai plein le visage et le haut du buste. J’ai à peine le temps de respirer qu’ils enfilent leurs habits et s’en vont. Le photographe est toujours en train de m’enculer. Il me fait mettre à quatre pattes le cul levé et bien tendu. Il me fesse toujours d’une main tout en me godant avec l’autre puis en me fouillant la chatte. Sa main entière entre dans mon vagin. Je ne peux retenir plus longtemps une nouvelle jouissance. ...
... Soudainement, il m’attrape par les cheveux et me colle sa bite dans la bouche. Alors que je m’attends à recevoir une giclée chaude et abondante sur mon visage, je sens plutôt sa main pousser l’arrière de ma tête, et sa bite atteindre les bas-fonds de ma gorge. Quelle gorge profonde vigoureuse ! Malgré un haut-le-cœur et des larmes d’étouffement qui perlent sur mes joues, je jouis encore une fois braillant en grognant mon plaisir haut et fort pendant que le photographe déverse son sperme directement dans ma gorge. Je suis une vraie salope. Il le savait pour me traiter ainsi. Je ne sais même pas combien de fois j’ai pu jouir pendant cette heure. Je suis trempée et dilatée de partout. Il m’annonce alors que je peux utiliser la salle de bain pour me laver pendant qu’il prépare le CD de cette série de photos. C’est vrai que j’en ai besoin car j’ai été baisée et rebaisée sans aucune précaution. J’espère que mes baiseurs étaient sains ! Si j’avais déjà fait des photos de charme quelques années auparavant, cette fois-ci, celles réalisées aujourd’hui sont carrément pornographiques. Que va-t’il en faire ? Moi, je vais conserver précieusement le C.D. pour me remémorer cette partie de jambes en l’air démente… Merci mon Matou libertin d’avoir réécrit cette histoire !