Ancestor, épisode 1/6
Datte: 14/02/2019,
Catégories:
fh,
grp,
asie,
Collègues / Travail
grossexe,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
Partouze / Groupe
... souvent son corps et ses cheveux d’éclatantes étoffes asiatiques, et son visage orné d’une marque rouge sur le front donnait l’impression d’une petite œuvre d’art, aux traits si fins qu’ils semblaient dessinés au pinceau. Très secrète et plutôt discrète de nature, parlant peu, Jarmi formulait toujours des choses pertinentes lorsqu’elle ouvrait sa mignonne petite bouche. Personne ne semblait rien savoir sur sa vie privée ni son origine exacte. Les hommes, tous d’âge moyen, se nommaient Argus, Omanetter, Madan et Fassin. Les trois premiers étaient mariés ou engagés mais sans enfants, tandis que Fassin apparemment vivait seul. Dans un premier temps, je n’eus pas tellement de contacts avec Fassin et Madan. Ils étaient constamment plongés dans leur travail de développement de concepts, de scénarios et de graphismes. Ces deux hommes semblaient cacher une grande sensibilité. Je les trouvais séduisants physiquement, de différentes manières. Madan avait adopté un style très sobre qui seyait à merveille à sa constitution de mannequin. Fassin, plutôt maigre aux grandes mains effilées, donnait une impression plus impétueuse avec sa longue chevelure noire et sa barbe en bataille au sein de laquelle se découpaient des lèvres rouges ainsi que des yeux clairs et perçants. Fassin avait une imagination débordante et proposait souvent des idées tout à la fois surprenantes et fascinantes. Madan possédait une vive intelligence et des connaissances encyclopédiques, non seulement en informatique ...
... mais aussi dans des domaines aussi variés que l’histoire, le cinéma, la biologie ou l’astronomie. Argus, quant à lui, me parut tout aussi charmant, car en plus d’être grand et athlétique, il avait aussi de l’esprit, et sortait souvent des remarques qui faisaient rire tout le monde. Omanetter, finalement, s’était mis aux petits soins pour moi : il s’assurait sans cesse que je ne manque de rien et m’aidait pour tous les petits détails pratiques. Il était assez petit et d’aspect plutôt banal ; je découvrirais plus tard qu’en plus de son extrême gentillesse, il avait un pénis d’une taille et d’une qualité exceptionnelles. Pendant les premiers jours, mes rapports avec ces quatre hommes furent courtois, sans l’indice d’une arrière-pensée. Pourtant, peu à peu, je ressentis une sorte d’appréhension, et je crus remarquer de leur part quelques petits signes d’intérêt à mon égard qui étaient d’un autre ordre que la simple collaboration entre collègues. Fassin, le mystérieux barbu, levait parfois les yeux de son écran d’ordinateur pour me jeter des coups d’œil furtifs. Je m’en trouvais tout émue. Un soir, dans ma petite chambre d’hôtel, je me mis à songer à lui et à m’imaginer faire des choses avec lui… ces phantasmes idiots étaient d’autant plus tenaces que je savais que bientôt, rien ne m’empêcherait de vraiment faire ces choses. Les regards de Fassin me laissaient croire qu’il ne me refuserait pas. Je ne me souviens pas d’une autre situation dans ma vie où j’aie été plus exaltée qu’à la ...