1. Épouse presque fidèle 2 (3)


    Datte: 15/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... en direction des frondaisons. Dès que nous sommes à l’abri des regards, il s’arrête et m’ordonne : — À poil ! Je me raidis. Son visage est inexpressif : il attend sérieusement que je me déshabille ! Mon cœur s’emballe, mes mains tremblent. Je déboutonne lentement mon chemisier – un bouton à la fois – puis je le fais glisser et le tends à Lioubov. Les fesses cambrées devant lui, je descends le zip de ma jupe qui tombe à mes pieds. Faussement naïve, je me plie en deux pour lui exposer ma raie et mes orifices offerts lorsque je la ramasse, puis j’enlève mes bottes. Enfin je fais rouler le bas de ma jambe gauche de la cuisse aux orteils en lui lançant un regard espiègle, et je fais de même sur l’autre jambe. Le froid hivernal mord ma peau ; le tapis de feuilles rousses pique mes pieds nus. — Parfait... Tu es une bonne petite chienne bien obéissante. C’est donc comme une chienne que tu vas me suivre : au bout d’une laisse. Alors qu’il place mes vêtements dans son sac, je me permets une suggestion : — Regarde dans mon sac à main : j’ai apporté ce qu’il faut. Il en extrait une laisse métallique dont une extrémité est agrémentée d’un petit fouet et d’un grelot. L’intérieur du collier est garni de picots. Il me le passe autour du cou et s’empare de la chaîne à laquelle il donne un coup sec. — À quatre pattes, ma chienne ! Je fronce les sourcils en regardant le sol ; une grimace tord ma bouche : à quatre pattes, des épines et des petits cailloux meurtrissent mes mains, mes genoux et ...
    ... mes pieds. Ma peau extrêmement sensible va conserver des marques… Remarquant mon hésitation, Lioubov me donne un coup de fouet sur les fesses, juste assez fort pour provoquer une douleur cuisante. — Avance ! Je progresse très lentement en posant chacun de mes membres avec précaution afin de ne pas me blesser. Pour moi, c’est un vieux fantasme que je réalise enfin aujourd’hui ; mais là, sous les arbres, ce n’est pas du tout excitant. Heureusement, le chemin débouche rapidement sur une pelouse dont les brins d’herbe humides caressent ma peau et me chatouillent, formant un doux tapis sous mes mains, mes genoux, mes jambes et mes pieds. Lioubov me donne régulièrement des coups de fouet bien secs sur les fesses ; les claquements sont accompagnés des tintements du grelot et de mes petits cris de douleur. Mon corps frissonnant de froid et d’excitation frémit à chaque coup reçu. Le collier pique mon cou. De délicieuses décharges électriques irradient mon corps. Mon « maître » doit avoir une vue privilégiée sur mes orifices offerts, et plus particulièrement sur ma chatte qui émet des bruits indécents alors que son nectar s’écoule sur l’intérieur de mes cuisses. Mon clito est dressé entre mes lèvres tandis que l’air frais caresse sensuellement l’entrée de mon vagin dilaté. J’imagine secrètement être découverte par des inconnus. Cette idée m’excite tandis que nous pénétrons dans une zone boisée… Soudain, au détour du sentier, nous sommes surpris par l’arrivée inopinée d’une jeune femme en ...
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