1. Épouse presque fidèle 2 (3)


    Datte: 15/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... moi, le chien halète, sa bave coule dans mes cheveux et sur mon dos. Il prend son pied : ma bouche a l’air de lui convenir ! Ma chatte coule encore, toujours en chaleur. Quelle gourmande, celle-là… vraiment insatiable ! Je suis tellement absorbée par ma fellation contre nature que j’en oublie presque que je ne suis pas seule. Que deviennent Lioubov et la jeune femme ? Comme le ventre du chien qui vient s’écraser contre mon visage m’empêche de les voir, j’incline ma tête sur le côté. La blonde n’est plus agenouillée, mais accroupie devant Lioubov ; sa main s’active entre ses cuisses écartées tandis que ses lèvres glissent le long de la verge. Elle doit s’astiquer le bouton… Mon initiateur se laisse faire, les yeux clos, tout à son plaisir. Mais lorsqu’il commence à haleter, il repousse la tête de la jeune femme et lui dit : — Ça va comme ça ; c’était très agréable, mais je réserve mon sperme à ma petite chienne. Déçue – et frustrée car ses caresses ne l’ont pas menée jusqu’à l’extase – elle se relève. — Pourtant, je ne vais pas vous laisser sur votre faim. Allez, ma chienne, viens là ! dit Lioubov en tirant sur ma laisse pour m’amener face à la vulve ruisselante de la jeune femme. Lèche ! Je délaisse à regret la verge du chien et enfouis mon visage dans l’entrejambe moite. Ma langue déniche le clitoris dardé que je suce en alternance avec des caresses de ma langue le long de cette fente humide qui exhale un parfum enivrant. Je me gorge du suc féminin qui s’écoule dans ma ...
    ... bouche. Tout à coup, je sens des mains se poser derrière ma tête et me plaquer contre cette vulve sur laquelle je m’acharne, étouffant presque dans ses replis suintants. Un long gémissement s’élève au-dessus de moi : la blonde vient de jouir. La laisse me tire vivement en arrière ; je vois la jeune femme pantelante, les yeux dans le vague, encore sous l’effet du plaisir que je viens de lui procurer. — Allez, en route ! Au plaisir, Mademoiselle. Nous reprenons notre progression. Un dernier regard en arrière avant de nous enfoncer dans la profondeur de la forêt : la jeune femme est maintenant tout comme moi à quatre pattes, les flancs enserrés par les pattes de son chien qui la bourre de rapides coups de bassin. Même si elle a joui sous ma langue, elle devait avoir envie de se faire pénétrer. Quelques minutes plus tard, une secousse sur la laisse me fait comprendre qu’il faut s’arrêter. Devant moi, un majestueux sapin plusieurs fois centenaire tant le diamètre de son tronc est important. Lioubov pose son sac à terre et en sort quelques mètres de chaînes ainsi que des cadenas et des menottes. Que va-t-il me faire ? — Debout, ma petite chienne ; mets-toi tout contre cet arbre et enserre son tronc entre tes bras. J’obéis à son injonction et m’appuie contre l’écorce rugueuse. Un contact glacé suivi d’un claquement métallique : mon tortionnaire vient de refermer des menottes autour de mon poignet gauche ; le droit subit le même sort quelques secondes plus tard. Un cliquetis de chaînes ...
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