1. Épouse presque fidèle 2 (3)


    Datte: 15/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... et se transforme en une brûlure qui se répand inexorablement le long de mes fibres nerveuses pour envahir tout mon être. Je tente de crier, mais le bâillon-boule m’en empêche, et ce n’est qu’un faible gémissement qui s’échappe de mes lèvres. Fort curieusement, j’ai l’impression de sortir de mon corps qui agite en proie à la douleur alors que mon esprit semble flotter-au dessus de lui et qu’un énorme flash de plaisir le traverse. Alors, ce serait donc vrai que douleur et plaisir soient les deux faces d’une même médaille ? Mon esprit réintègre mon corps alors que Lioubov, la tête entre mes cuisses largement écartées mais encore agitées de soubresauts, suce consciencieusement mon clitoris malmené pour en enlever toute trace de Tabasco. Il se redresse pour m’adresser la parole : — Alors, ma belle, curieuse expérience, n’est-ce pas ? Je t’avais bien dit que le plaisir et la douleur sont inextricablement liés, te souviens-tu ? Le bâillon m’empêche de lui répondre ; je ne peux qu’acquiescer en agitant ma tête de bas en haut et de haut en bas. Il poursuit : — J’espère que les tourments que je t’ai infligés ne te dissuaderont pas de me revoir, car si c’était le cas, je ne laisserais pas un autre que moi te donner du plaisir. Je préférerais… À ce moment-là, il me montre ce qu’il tenait jusqu’à présent caché derrière son dos. Un objet d’une quinzaine de centimètres, assez fin, qui semble être en bois. Ce n’est que lorsqu’il déploie la lame que je reconnais avec terreur un de ces ...
    ... anciens rasoirs de barbier. L’acier luit sous les rayons du soleil bas sur l’horizon. Il termine alors sa phrase : — … trancher ce clitoris qui te procure tant de plaisir ! Mon effroi est à son comble lorsqu’il passe la lame (à plat, heureusement) à l’intérieur de ma cuisse sur ma peau qui se hérisse sous ce contact glacé. Lioubov enserre alors entre deux doigts mon petit organe érigé, tire dessus pour l’allonger au maximum, approche la lame du rasoir, et… — Alors, tu m’as cru ? Et il éclate de rire tandis qu’il me délivre de mes entraves. Je m’effondre dans ses bras qui me soutiennent car mes jambes flageolent. Il me serre très fort contre lui tout en me rassurant : — Je t’avais bien dit qu’il fallait me faire confiance, Jessica… Tu as vraiment cru que je serais capable de te faire du mal ? Bien sûr que non ; ce n’était qu’un jeu. Cinquième et dernière leçon : avoir une confiance absolue en son partenaire. Je suis incapable de répondre ; je tremble encore nerveusement, mais la chaleur de son corps contre le mien et ses gestes d’apaisement me font du bien. — Allez, rhabille-toi vite ; tu vas prendre froid si tu restes dénudée. Je m’empresse de remettre mes vêtements ; c’est vrai que le jour décline et que le pâle soleil d’automne est incapable de me réchauffer. — Tes enfants ne vont pas tarder à rentrer, ma belle ; allons, retournons au parking. Il ramasse son sac et me prend par la main. Une dizaine de minutes plus tard nous sommes à côté de sa voiture ; son sac à malices est vite ...