1. la chaleur des exams (1)


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... m’accueillant, je remarquai qu’elle était habillée d’un jeans moulant et d’un caraco à bouton tout aussi serré, même prêt à exploser, dessinant remarquablement sa grosse poitrine. Je m’installai dans une de ces banquettes qui donne l’impression de s’asseoir par terre. Alex m’offrit à boire ce qui me permit de mater discrètement son postérieur. Nous commençions sérieusement à nous y mettre et il y avait des feuilles de papier un peu partout sur sa table basse. Mais très vite, elle me dit que la chaleur l’incommode. Nous parlions d’autres choses autour d’une bonne bière fraîche. D’ailleurs, celles ci se multipliaient au fur et à mesure que les minutes défilaient. A un moment, Alexandra est partie se rafraîchir à la salle de bain. A son retour, j’ai cru remarqué qu’elle avait ouvert un ou deux boutons de son haut. Je n’y ai pas plus prêté attention que cela car la chaleur était étouffante dans cet appartement. Un bon quart d’heure plus tard, elle est allée aux toilettes et une nouvelle fois, un autre bouton de son top s’était ouvert. Je voyais maintenant une bonne partie de son décolleté qui stimulait facilement mon imagination. Nous avons travaillé une bonne heure avant de prendre une nouvelle pause. Elle recommença son cinéma en allant chercher je ne su quoi et encore une fois un autre bouton sauta. Là, sa poitrine était vraiment prête à jaillir de son top et je profitais sans gène de cette offrande. Alex restait imperturbable et au moment de se replonger dans ses notes de ...
    ... macro-économie si ennuyeuses, elle fit glisser ses lunettes sur le nez. J’étais tout de même bien distrait et elle s’en aperçut rapidement : « Mais tu mates mes seins ????? — Tu sais Alex, c’est difficile de se concentrer avec ces beautés sous les yeux; — Tu as vu la chaleur qu’il fait ? D’ailleurs comment fais tu toi pour supporter ? Mets toi plus à l’aise un peu ». Comme elle était la plus âgée que moi, Alex se faisait toujours passer pour la grande sœur pour me materner. Elle a bondit sur les boutons de ma chemise pour me l’ouvrir. Je ne me laissais pas faire mais dès qu’elle glissa ses doigts sur mon buste, elle m’a fait remarquer, « dis donc, je ne savais pas que tu étais aussi bien bâti dessous ». Elle poursuivait son exploration en descendant ses deux mains vers mon ventre « Wahooo c’est tout dur par là ! » Elle tâtait avec délice mes abdos dessinés que j’entretenais depuis des années grâce à la gym. Elle s’en hardissait et elle osa ; — Voyons voir si c’est aussi dur plus bas. — Ça l’est encore plus que tu l’imagines », lui répondis-je au moment où elle empoignait mon entrejambe. « D’ailleurs c’est essentiellement dû à cela », ajoutais-je en empoignant à mon tour son sein droit à moitié sorti de son tissu. Nous nous regardâmes dans les yeux, un court silence enrobait nos sourires bêbêtes. Puis Alex rompit brutalement ce moment en prononçant une phrase que je n’imaginais pas entendre un jour : — « T’as envie de voir mes gros seins ? — J’attends que ça », lui rétorquai je ...
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