Sandra et le Proprio Ch. 02
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... de lui, je devrais dire... mon mari. A tout le monde d'ailleurs nous devrons parler ainsi, y compris nos parents. Il exige aussi que nous nous montrions, maintenant, ensemble lui et moi dans le village. Enfin, il change les dernières règles établies et dorénavant, les hommes auxquels il me donnera, viendront me prendre chez lui et plus chez toi. Ce qui implique que je ne viendrai te voir, amicalement, que lorsqu'il me le dira. - Mais enfin, je ne te verrai donc plus! - Tu ne me verras que lorsqu'il le voudra, lui! - Mais... - Tu sais, Alain, sois heureux qu'il n'exige pas que je divorce d'avec toi! - Comment? - Oui, tu as bien entendu... - Tu le ferais? - Oui, je le ferais! - Je suis malheureux! - Alain, je suis certaine que Serge sait ce qu'il fait. Il m'a laissé entendre que je viendrais régulièrement te raconter ce qu'il fait de et avec moi de sorte que tu sois toujours en humiliation et en souffrance de la femme que tu as perdue. - Oh vraiment, je ne pouvais imaginer une telle situation! - Maintenant je rentre chez moi, rejoindre mon mari. - Sandra, je t'en prie ne me laisse pas sans nouvelle de toi, longtemps. - Je ferai ce que mon mari voudra que je fasse... Sandra me laissa seul avec mon désespoir et ma peine. Je partais tôt au bureau et en rentrais tard. Je ne voyais plus personne. J'évitais de circuler dans le village. Je faisais mes courses ailleurs. Le week-end, je restais enfermé pour ne voir personne mais je restais à la maison au cas où Sandra viendrait. Mais ...
... j'ai dû attendre plusieurs semaines avec qu'elle ne vienne un samedi après-midi. Nous étions quelques jours avant Noël. Son ventre avait grossi. Je la regardais avec amour. J'en oubliais immédiatement ma peine. Je la priais de s'asseoir. Je lui préparais un chocolat chaud, comme elle l'aime. Elle était enceinte de trois mois et demi. Nous avons parié de sa santé et de la pluie et du beau temps. Puis elle dit que Serge lui avait dit de venir me voir pour m'informer... - Je dois te dire tout ce que j'ai noté. Elle sortit un papier de son sac à main. - Serge, m'a demandé d'être explicite et de ne rien omettre, c'est pour cela qu'hier, nous avons écrit ce bout de papier : - Je dois commencer par te dire que je reçois, chaque jour de la semaine, la visite d'un homme différent, la plupart vient du village. Il n'y a pas de règle précise. Le premier qui arrive, je dois l'accepter. Le bouche à oreille a fonctionné et maintenant, mon mari, estime qu'une soixantaine d'hommes sont sur les rangs. Le matin, je dois mettre un carton vert sur la vitre du salon, si je suis encore disponible et après, un carton rouge, si je ne suis plus disponible. Ainsi il n'y a pas d'embouteillage. Mais les vieux sont plus nombreux. Mais la demande est forte. Heureusement qu'il y a les week-ends. Ces deux jours me permettent de satisfaire un bon nombre d'hommes. En moyenne disons, six le samedi et six le dimanche. Les week-ends, ce sont plutôt les jeunes qui adorent me partouzer. Ceux du village emmènent ...