1. Hmmm...


    Datte: 18/02/2019, Catégories: fh, hépilé, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, hdanus, tutu, couple,

    ... demande ce que c’est. — Sortons, me dis-tu. Après avoir remis nos peignoirs, tu me prends la main. Le long des couloirs, plusieurs alcôves peuvent recevoir les couples qui veulent se reposer ou s’aimer. Les portes sont entrebâillées pour certains, plus ouvertes pour d’autres. Je reconnais les deux jeunes noirs. Maintenant, c’est la fille qui est sur son ami. Il est couché sur le dos, elle a un très beau corps souple et nerveux. Je n’ose trop regarder, m’approcher. Je pose à peine mon regard sur eux. Pourtant tu me dis qu’ils aiment être vus. Peut-être, mais c’est dérangeant pour mon esprit. Pas de honte, non. J’ai surtout le sentiment de ne pas avoir le droit de les regarder. Tous les couples que j’ai vus m’ont fait ressentir cela. Non, je n’étais pas à ma place en ce lieu. Un homme seul semble rôder, ses yeux se posent trop souvent sur moi. Pourtant je n’ai pas de problème avec ma nudité : mon corps, je l’aime bien, je suis pas trop mal faite pour mon âge. Toi, tu me trouves belle et je me sens jolie quand je jette un œil aux miroirs accrochés aux murs. Mais je ne voudrais pas que cet homme me touche. Non, pas envie de lui ou d’un autre inconnu. Je préfère entrer avec toi dans une petite chambre, m’allonger sur les matelas plastifiés bleus. Deux coussins sont posés en travers. J’ai envie de caresses, d’être simplement couchée. Retrouver ton odeur, la douceur de ta peau. Oui, te toucher. Nous commençons notre ballet des corps. Nous retrouver, sentir ton envie de moi. Tes ...
    ... baisers, tes caresses… Je te lèche, te suce, te happe. Ta verge respire le désir. Tu es sur moi à me lécher le minou, seulement moi je pense que l’on peux me voir, j’imagine l’homme seul dans le couloir me regardant… Et s’il entrait ! Je me sens bloquée, je voudrais jouir car j’en ai envie mais je ne peux pas. Tu le sens, je crois même te l’avoir dit. Tu te lèves et vas fermer la porte à clé. Mais rien ne change dans mon esprit, je n’arrive pas à oublier l’endroit où je me trouve. Nous reprenons nos caresses. Tu me demandes de te lécher l’anus, c’est doux. Tu t’es épilé, ma langue glisse sur ta peau. Tu aimes cela. De mes mains je frôle, je prends tes bourses. Elles sont pleines, chaudes, charnues. J’aime quand tu entres dans moi, quand tu me limes, me laboures, me bouscules. Mais je ne peux toujours pas me lâcher, mon corps résiste à l’abandon. Je ne crie pas non plus. Alors que j’adore cela, laisser ma voix s’emporter sans retenue. — Dis-moi ce que tu voudrais, ce que tu as envie, me demandes-tu. Et là, je t’avoue que je veux que tu m’aimes… Que tu m’aimes. Et sous tes mots, sous tes doigts, ton sexe dans ma bouche, je t’ai offert un orgasme venu de très loin, enfoui au fond de moi. Quel moment de bonheur. Et des râles sont sortis de moi, trop de jouissance pour pouvoir me retenir… Crier, crier encore… Jouirrrrrrrrrrrrrrr. Quelques instants de répit et tu recommences à me caresser, à titiller mes seins, à jouer avec mon corps. Tu me fais me mettre à genoux. Doucement, tout ...