1. COLLECTION SOUMISE. Fille de… (2/8)


    Datte: 22/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... grand-chose sont ses maîtres mots, le tout avec ma pelure de mouton qui va me permettre de sortir sans me geler, la neige recouvrant Paris depuis trois jours. Le taxi nous dépose devant ce que je crois être une boîte de nuit, dès que nous entrons, je vois le bar ou de nombreux couples sont comme nous en tenus très subjectives. Tous font couler le champagne à flot, derrière un rideau rouge, j’entends de la musique, ce doit être la piste de danse. • Bonsoir, Pierre, je vois que tu t’es enfin décidé à nous amener ta protégée, depuis que nous savons que tu as séduit la fille de qui nous savons, nous attendions avec impatience que tu nous montres de quoi elle est capable. Tu sais que nous avons de grands desseins pour elle, du moins si dans les cinq minutes elle ne part pas en courant dire à son papa que ses amis sont d’affreux libertins. Je ne comprends pas ce que Joseph l’autre copain de père et de mère fait là seul sans son épouse, encore moins ce qu’il veut dire en parlant de grands desseins pour moi. Étant d’un naturel curieux et surtout ayant pris l’habitude aux jeux de mon amant, me souvenant de ce que je lui avais dit lorsqu’il m’a sodomisé que j’étais toute à lui, je me garde bien de poser la moindre question, je vide ma première bouteille de champagne. • Suis-moi ma chérie, allons voir ce qu’il y a d’intéressant derrière ce rideau. La musique que j’entendais jusqu’au bar ne provient pas de la pièce où nous entrons, mais d’une autre, cette pièce est un vestiaire, les deux ...
    ... femmes qui sont entrées en même temps que nous et qui sont directement passées ici sont déjà nue et fixent sur leurs seins un paréo rouge pour l’une, vert pour l’autre. • Fais comme ces femmes, pose tes affaires, derrière ce deuxième rideau, nous n’aurons nullement besoin, regarde dans ce rayon, choisit le paréo de la couleur que tu veux, pour nous les hommes nous avons de grandes serviettes. Joseph nous a suivis et nous franchissons le dernier rideau, j’avais à peu près compris, Pierre m’a amené fêter la fin de l’année dans un club échangiste parisien. Nous nous installons sur des coussins, je regarde l’une des deux femmes, celle au paréo vert, le laisser tomber et venir s’enrouler sur l’une des nombreuses barres qui sont dans cette grande salle. Plusieurs dizaines de couples ou d’hommes seuls et même de femmes comme je viens de le voir se font servir à boire, sur un pouf, une femme se fait prendre par un homme, un autre semblant les regarder. • Es-tu étonnée mon cœur, je suis en train de te faire découvrir les nuits parisiennes que seule une poignée d’initié est capable de pénétrer, tu es ici avec l’élite de la perversité, si tu avais l’occasion de voir les comptes en banque de chacun d’eux, l’argent que nous avons dépensé ensemble depuis que tu es mienne, représenterait une goutte d’eau dans une bouteille d’un litre ? • J’espère que père et mère ne viendront pas ici ! C’est Joseph assis au côté opposé à Pierre qui me répond. • Tes parents se sont rencontrés dans une boîte ...