Secret de famille (1)
Datte: 19/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... alors mes yeux et entrouvrais mes lèvres pour recevoir son baiser, mais il se retira sans chercher à faire un baiser plus charnel. J’étais finalement déçue qu’il ne cherche pas un vrai baiser, mais je savais qu’il avait raison, c’est quand même le frère de mon grand-père. Oui, c’était mon grand-oncle, mais ma mère, n’était-elle pas sa nièce ? Bon mon imagination est peut-être plus perverse que la réalité, peut-être que je me fais des illusions sur ma mère et lui… peut-être qu’il y a eu effectivement cet « incident », ce trouble et que ma mère en a parlé à ma grand-mère… à l’époque, cela suffisait largement pour faire des histoires… enfin, aujourd’hui, cela serait peut-être la même chose. Mieux vaut que je ne dise rien à ma mère de ce chaste baiser. - Tu veux une autre tasse de café ? - Non merci. - Un petit pousse-café. - Non, non je n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool, je vais être pompette. Dis-je en éclatant de rire. Il n’insista pas et me proposa ensuite de visiter son appartement. Un petit escalier au fond du séjour donne sur le toit de l’immeuble. rczzsq - J’ai fait une demande pour y installer une piscine, j’attends la réponse du syndic. - Une piscine ? J’étais ...
... impressionnée. Pour l’instant, il y avait des arbustes plantés dans des grands bacs qui faisaient tour le tour de la terrasse une moquette imitation pelouse un salon de jardin et des transats. Il s’approcha du bord et m’appela. J’hésitais à venir car sans l’être de manière exagérée soumise au vertige, je n’aimais pas trop m’approcher à proximité du vide, mais comme il insistait, je me suis quand même dirigée vers lui. - Regarde ! Je m’approche doucement, mais n’ose pas me pencher pour voir derrière les arbustes. - Ne t’inquiète pas, je te tiens. Dit-il en posant ses mains sur mes épaules. Je me penche un peu… - C’est haut ! Dis-je en faisant un mouvement en arrière. Il tient toujours par les épaules et mon geste faillit nous faire basculer. Il éclata de rire. - Tu es bien comme ta mère. Puis, prit un air sérieux et ses mains toujours sur mes épaules me firent pivoter pour me retrouver face à lui. Nous étions maintenant face à face et il me fixait avec une intensité qui ne pouvait que me troubler. Il s’approcha, posa une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes, comme la dernière fois, je les entrouvris, mais cette fois, sa langue se glissa dans mon palais pour endiabler la mienne.