1. Ophélie, de femme à femelle (4)


    Datte: 19/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pieu. Le souffle coupé par cette intromission, je ne peux laisser échapper qu’un Ah de bonheur. - Humm, tu es serrée ma salope, tu la sens bien ma queue dans ta chatte de chienne ? Je ne peux pas répondre, je ne peux plus bouger, je suis totalement à sa merci. Il me lâche les cheveux pour me prendre par les hanches et commence son va et viens en moi. Il me donne de violents coups secs, je sens à chaque mouvement, mes lèvres s’étirées le long de son sexe, le trop plein de mon jus s’échapper de ma chatte à chaque coups. Oh putain, je jouis encore, je mords le dossier du canapé pour ne pas hurler mon plaisir. Il me pilonne maintenant violement, me tenant fermement par les hanches, frappant mon utérus à chaque coup de queue. Me traitant de salope, de chienne, qu’il va faire de moi sa pute. Je ne comprends pas ce qu’il me dit, je suis dans un état de petite mort, je suis une poupée dans ses mains, je jouis et jouis encore. Il fini par éjaculer en moi, dans un dernier coup de reins puissant, m’emplissant de son foutre. Il reste immobile, planté au fond de ma chatte le temps qu’il reprenne son souffle, puis se retire doucement, ...
    ... tenant la base de son sexe d’une main, me laissant un grand vide en moi. Je sens son sperme couler de ma chatte, et tomber par paquet glaireux sur mon canapé. Mon dieu, a quoi doit ressembler mon trou ? Il doit être tout déformé. Arnaud essuie son sexe tout baveux entre mes fesses, tapotant son gland sur mon anus. Je ne bouge pas, j’en suis incapable, je suis lessivée, vidée, anéantie. Je ne remarque même pas le départ d’Arnaud. Il m’a laissée là, anéantie sur le canapé les fesses e toujours en l’air. Je ferme les yeux pour reprendre mes esprits, pour me calmer de mes orgasmes à répétitions. Quand j’ouvre les yeux, je suis toujours seule, 2 heure du matin, mon dieu, si mon mari s’était levé ! J’essaie de reprendre mes esprits, de faire le point, de remettre de l’ordre dans ma tenue et apparence. Qu’ai-je fait ? Je viens de me faire violer par mon patron à quelques mètres de mon mari alité et endormi. Violer ? Es ce le cas ? Oui ! Oui c’est sure, il a abusé de moi. Je m’endors sur le canapé en essayant de m’en persuader. Faut que j’en parle demain. Je dois avoir des explications avec mon patron. Il faut…… il faut…… A suivre ! 
«12345»