Julien et ... (3)
Datte: 20/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
— Viens, j’ai hâte de sentir ces nouvelles sensations. — Oui, mais avant, je veux boire un peu encore ton élixir de plaisir, j’aime tellement ton odeur, ton goût que je pourrai presque m’en satisfaire, sans parler de ton warm-cream qui tel un ice-cream j’adore lécher. — Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. — gloup, rloup, miam, plouf, hiiiiiiii, gloup, rloup, miam, plouf entonne la fanfare du sexe de maman, la tire-lires débordante de bonheur. — Rlapp, rlapp, rlapp floup, rlapp, rlapp, rlapp floup, répond la langue de Séraphin, broutant avec acharnement cette moule délicieuse, sans oublier fuifuifuifui quand il déguste le warm-cream dressé sous ses caresses linguales. — Oh ! Putain, ce que c’est bon quand tu me faits reluire la moule. — Attends, je vais aussi honorer avec ma langue, l’entrée de service, tu me diras comme tu aimes. — Tu es un vrai cochon, tu vas devenir un lèche-cul. — Qu’avec toi mon amour. — C’est très agréable et cela me plaît, mais attends toi que je te rendre la pareille. — J’y compte bien. — Je vais partir, viens te cacher dans ma grotte, je veux sentir ton jet de Genève m’arroser les ovaires, engloutir mon ute russe, recrépir la grotte qui t’a vu naître. Quelques coups de rein plus tard, une fois que la lance incendie a rempli son office, Séraphin remet le sujet sur le tapis, soit faire une partie carrée avec sa copine sur place. (enfin à trois plutôt triangulaire) — Qu’en penses-tu ?, es-tu prête à essayer ? — Essayer pourquoi pas, mais ne la ...
... connaissant pas, je ne sais pas ce que cela risque de donner. Peut-être qu’elle n’appréciera pas. — C’est un risque courir. Demain, je vais lui demander. Le lendemain, Séraphin retrouve sa copine à la sortie du cours. — Cela te dirait de venir souper chez nous ? J’ai envie de te présenter à ma mère. — Oui, cela à avoir avec ta dernière question ? — C’est ouvert comme possibilité ! — Je lui annonce qu’elle prépare pour 3 et non pour 2. — Tu as de la chance d’avoir une cuisinière. — Pas qu’une cuisinière ! — Comment cela ? — Tu verras bien Le soir venu, les deux tourtereaux arrivent dans le studio, ou la mère de Séraphin s’est mise sur son 31, très léger et dès qu’ils sont rentrés, elle se jette langoureusement dans ses bras pour lui souhaiter la bien venue. — Maman, je te présente Josiane, ma copine. — Elle est très jolie, tu as bon goût mon fils. Josiane, qui rougit sous ces compliments tend sa main sérieuse. Séraphin, trouvant ceci un peu trop cérémonieux la pousse vers sa mère et les prend les deux dans ses bras en les embrassant à tour de rôle. — Mes deux amours, j’espère que vous vous entendrez bien. — Venez, j’ai préparé un souper avec ce que j’avais à disposition. . Josiane, il n’y a rien qui te retient ce soir et cette nuit ? — Non, mais j’aimerai pas vous gêner, je vois qu’il n’y a qu’un lit dans ton studio. Vous couchez dans le même lit ? — Eh bien oui, on ne peut pas faire autrement. — Alors on risque d’être trois, cela risque d’être chaud. Répond-elle avec un petit ...