1. Tante Gisèle, maman, et les autres... (11)


    Datte: 20/02/2019, Catégories: Hétéro

    chapitre 11 : Hélène, l’amie de ma tante Gisèle Un jour, ma tante Gisèle me demande de l’accompagner à un baptême. Son amie Hélène est la marraine et souhaite sa compagnie pour le voyage et profiter de sa voiture qui est plus confortable que la sienne. Je lui demande si personne ne va trouver drôle qu’un jeune homme l’accompagne et la serre de près, mais elle me rétorque. — Alors là, je m’en fous complétement ! Je te présenterais comme mon neveu, ce qui est le cas et si certains veulent penser autrement, j’en prendrais du plaisir. Le jour du départ je suis très agréablement surpris en voyant son amie Hélène. C’est une femme qui me semble plus jeune qu’elle, vêtue d’une robe légère d’été, tout juste soutenue par de fines bretelles. Le vaporeux tissu de la robe qui lui arrive à mi-cuisse flotte agréablement sur une paires de fesses rebondies et ses longues jambes sont découvertes, sans bas ni collant. Des yeux bleus malicieux me détaillent quand elle me serre la main pour me dire bonjour. — Content de vous connaître Dany. Votre tante ne dit que du bien de vous. C’est l’occasion pour moi de mieux vous connaître. Sur que j’aimerais la connaître de plus près ! Je n’arrête pas de reluquer sa poitrine qui a du mal à rester prisonnière de sa robe au décolleté bateau. Malheureusement elle est accompagnée par un homme d’une cinquantaine d’année qu’elle nous présente comme son cousin. Mais je suis comblé lorsqu’elle dit. — Dany, montez avec moi derrière, on fera connaissance et Gérard ...
    ... préfère être devant. Je vais partager la banquette arrière avec cette femme plus âgée que moi et incroyablement sexy. — Dany, ça ne vous gêne pas que je me mette au milieu…j’aime bien voir la route. — Non, pas du tout ! J’ai failli répondre « Au contraire, vous serez plus près de moi ! » Dans un virage elle glisse légèrement vers moi et sa cuisse se colle contre la mienne. Je sens tout de suite la chaleur de sa cuisse et mon sexe commence à se trouver à l’étroit sous mon pantalon. Je ne quitte pas des yeux ses jambes et surtout ses cuisses, car sa robe est très courte et remonte encore plus lorsqu’elle se retourne pour regarder par la fenêtre. J’aperçois même un bout de tissu blanc de son slip. Une conversation des plus banale s’engage, quel cours je suis, quels sont mes ambitions, ais-je une petite amie….etc. etc.…. La nuit tombe doucement et je vois ses yeux papilloter. Je ne me cache même plus pour regarder ses seins en me disant. « Quelle paire de nénés ! Je toucherais et je lui sucerais bien ses tétons que je devine sous le tissu fin. Sur un mouvement de la voiture, sa tête tombe sur mon épaule. Très doucement je mets mon bras autour de ses épaules nues. Devant ils écoutent de la musique et surveille la route assez encombrée. Sans réaction de d’Hélène qui me semble endormie, je caresse du bout des doigts le haut de sa poitrine et comme elle a glissé un peu sur le siège, le bas de sa robe est au niveau de son entrecuisse et je distingue même le bas de sa chatte qui forme ...
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