La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°941)
Datte: 20/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... rien de bon pour elle. Walter pris ensuite sa laisse qui pendait à son cou et l'obligea à le suivre. Monsieur le Marquis se saisit de la mienne et je me levais, la tête basse mais la rage dans le corps. Nous sortîmes par la porte par laquelle ils étaient tous entrés. L'allée de graviers me meurtrissait la plante des pieds et je ralentis le pas. Monsieur le Marquis se retourna et me regarda avec colère en tirant sur la laisse si fort qu'il me fit trébucher et je tombais de tout mon long et de tout mon poids sur les graviers qui me meurtrirent tout le coté. Les mains liées, je n'avais pas pu amortir ma chute et ma tête heurta, elle aussi, les graviers. J'en vis trente six chandelles. Le Monsieur le Marquis s'approcha de moi et m'aida à me relever en passant une main sous mon bras : - fait donc un peu attention femelle, ou tu reprendras du fouet. Je le regardais, fis non de la tête et essaya de me tenir juste derrière lui. Nous arrivâmes sur le perron de l'entrée que nous avions franchi avec tant d'espoir ... Walter, qui était devant avec Mélanie, en ouvrit la porte et pénétra dans la grande entrée. Le Monsieur le Marquis s'effaça devant le Comte pour le laisser entrer en premier. Il tira sur ma laisse, me tirant à lui, se pencha vers moi et me dit à l'oreille : - quoi qu'il se passe je ne veux pas entendre un seul mot, pas un seul son sortir de ta bouche, as-tu bien compris ? Me demanda t'il froidement en plongeant son regard dans mes yeux. - oui Monsieur le Marquis, j'ai ...
... compris. - bien, que je n'ai pas à te le redire, entre ! Il me tira et je pénétrais dans le château derrière lui. Une nouvelle fois je fus émerveillée du faste de la demeure. Tout y était beau, sans ostentation, mais pourtant avec beaucoup de raffinement. Je n’eus guère le temps d'en admirer plus avant les toiles, la dorure des tableaux, la finesse des sculptures, la beauté des meubles ou l'épaisseur des tapis. Nous ne fîmes que traverser cette salle. Walter nous reconduisait vers l'escalier en colimaçon que je reconnu tout de suite et mon coeur et mon corps frémirent au souvenir du fouet qui avait dansé sur mon corps . Nous arrivâmes quand Walter se dirigeait vers une espèce de tréteaux étranges avec deux planches placées en accent circonflexe . Mélanie eu un geste de recule en voyant que c'était vers cela que Walter l'emmenait. Monsieur le Marquis me fit mettre à genoux à ses pieds après s'être assis près du Comte dans un des fauteuils du petit salon de la salle rouge et demanda à sa cuisinière : - Marie ! s'il vous plait, servez-nous un cognac et apportez-nous la boite de cigares. Walter se tourna vers Monsieur le Marquis comme pour demander un accord muet . Monsieur le Marquis baissa la tête, me caressa nonchalamment les cheveux comme on caresse un chien qui vient de se coucher à vos pieds. Walter empoigna Mélanie, la releva, il lui détacha les bras, lui fit passer les mains au travers de drôles de menottes. Elle pouvait serrer une petite poignée qu'il lui referma fermement ...