1. Initiation d'un puceau, d'un jour !


    Datte: 20/02/2019, Catégories: Première fois

    Mes parents ont divorcé et ma mère s'est retrouvée seule avec trois enfants. Elle a trouvé un travail comme femme de chambre, dans un hôtel de passes. Les putes nous avaient pris en pitié, mes frères et moi, parce que notre père nous avait abandonnés. L'une d'entre elles, Lola, m'avait à la bonne. Quand ma mère travaillait et que je restais dans notre chambre, Lola passait me voir. Elle avait promis à ma mère de ne rien me faire, ni me montrer, avant que j'ai 18 ans. Moi, j'étais plutôt intéressé. Elle avait un cul ! Des BD érotiques circulaient dans le bordel. J'ai réussi à m'en procurer quelques unes. Il y en avait une, dont le nom m'échappe, et qui m'avait beaucoup servi à me branler la pine. C'était un sadique, qui, pour se venger d'une femme, la dénudait, lui liait les mains, et suspendue à un hélicoptère, lui avait promis de la plonger nue, dans un puits de bitume. J'étais en train de m'astiquer le poireau, quand Lola ouvrit la porte des toilettes. - T'as eu 18 ans hier, pas vrai ? - Ouais, répondis-je, fièrement ! - Qu'est-ce que tu fais ? - Je lis une BD ! - Et tu te branles ? - Ca te gêne ? - Non, mais tu peux faire mieux ! - Ah ouais ? quoi ? Elle releva sa robe et me montra son cul. Elle ne portait pas de culotte. - Embrasses-moi ! dit-elle ! Et elle me tendit son cul. Je déposai un bisou sur ses fesses. Sa main se glissa entre mes cuisses, et s'empara de ma queue que je serrai entre mes doigts. Elle était brûlante. Elle se laissa tomber à genoux, et prit ma bite ...
    ... dans sa bouche. Sa langue léchait ma pine, visitant les moindres parties sensibles de ce futur instrument de plaisir. Elle me regardait dans les yeux, juste avant que ses lèvres ne se referment sur mon gland. Elles glissaient le long de mon manche,de haut en bas et de bas en haut. J'avais les yeux révulsés de plaisir. Elle relâcha mon dard, pour glisser sa langue sous mes couilles. Elle m'enjamba, et saisissant ma queue à pleine main, elle l'enfonça dans sa moule. Je me raidis encore un peu plus. Elle serra les cuisses, et repris ses mouvements. tout à coup, sans crier gare, j'ai joui. Elle se releva, je bandais toujours. - Ah, ces jeunes, s'enflamma-t-elle, toujours prêts pour la baise ! Elle me regarda avec tendresse. - Je vais faire de toi, le meilleur baiseur du quartier... Elle était en train de se foutre à poil. Instinctivement, je comparai son corps à celui de la femme de la BD. Elle était cent fois plus belle. Je me voyais en train de lui lier les mains à l'hélicoptère. Ma pine se tendit de nouveau. - Je te fais de l'effet, on dirait ! - J'ai jamais vu un beau cul comme le tiens ! - Tu veux te le faire ? - Ouais !!! Elle se retourna et me prit par la main. Elle s'agenouilla contre le lit et m'attira vers elle. Elle saisit ma pine, et la dirigea vers son cul. J'ai écarté ses fesses et plongé ma bite dans son trou. Soudain, la rage m'a pris, et je l'ai défoncée. Mon sperme a coulé encore une fois. Elle s'est dégagée et a repris ma pine dans sa bouche. C'était gluand, ...
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