Chroniques immortelles (8)
Datte: 21/02/2019,
Catégories:
Divers,
Piège en eaux troubles. J’espère que je n’aurai pas d’ennui de copyright avec le titre de ce chapitre. Tant pis, je risque. Embrun, dans les hautes Alpes est une petite ville bien sympathique perchée sur un rocher au bord de la Durance. Je vous en recommande la visite si vous en avez l’occasion. Et au bord de la ville basse, un plan d’eau ou je vais situer ce chapitre. C’est un endroit calme, discret, ou se donnent rendez-vous tard le soir ceux qui ont envie d’un peu de tendresse rémunérée, si vous voyez ce que je veux dire… En cette soirée d’été, je ne suis pas sous les traits de Christine. Cette fois, je suis partie de mon personnage de Cyrille que j’ai féminisé. Je me retrouve donc sous l’aspect d’une grande fille brune, très loin de la blonde Christine habituelle. Nb : si pour vous Cyrille n’évoque rien, lisez ou relisez « L’héritier de Protée ». Je ne vais pas vous refaire l’histoire, on n’a que la soirée devant nous. Pendant que je déambule, je me demande si je fais assez pute ? J’ai soigné le personnage du mieux que j’ai pu. Maquillage un peu excessif, boléro en simili-cuir avec juste un bustier dessous. J’ai le ventre bien dégagé avec un nombril orné d’un piercing peu discret. J’ai mis une micro-jupe ras-la-touffe (plus courte, on aurait appelé çà une ceinture). J’ai les bas résille et des sandales à talons démesurés avec lesquels j’espère ne pas me casser la figure. Et un sac à main avec le nécessaire propre aux professionnelles. Tout est en place. Et mon premier ...
... client arrive. La démarche nonchalante, l’air un peu tendu, le type qui est en train de faire son marché, vous voyez le genre. — Bonsoir mademoiselle, dit-il en souriant. C’est combien pour une fellation ? — Je te la fais pour cinquante euros, dis-je assez fort. Mon client reprend à voix basse. — Tu casses les prix Christine, me dit-il. Tu crois que tes « concurrentes » vont marcher ? — C’est l’idée Alex. Non seulement, je dois paraître comme une intruse, mais en plus les mettre en rogne. — En tout cas, elles ont l’air d’avoir entendu ! On va ou ? A cote des toilettes comme convenu ? — Oui, il faut qu’elles nous voient passer à l’acte. Tout doit paraître normal. Si pour vous Alex n’évoque rien, relisez ce que je vous suggérait plus haut ! Nous nous installons à coté des toilettes, suffisamment à vue des autres filles. Alex ouvre sa braguette pendant que je me met à genoux, et au boulot ! Mmm, çà me manquait… — Tu n’es pas obligée d’aller au bout, me chuchote t-il. — Mmm, si, il faut que çà ait l’air authentique. Et puis autant prendre du plaisir dans le travail. Laisse toi aller mon chéri. Il se laisse aller. Je m’applique, je fais des bruits de succion, je le fait pénétrer loin dans ma gorge. Il gémit sans retenue. Personne ne peut douter à cent mètres à la ronde qu’il prend son pied. — Oh putain, je vais venir ! Lance t-il à voix forte. Aaaaaaah ! Son sperme me remplit la bouche. Je le savoure un moment avant d’avaler ! J’adore çà ! Et son jus est tellement bon... Je le ...