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Gwénaëlle et Hermine.
Datte: 22/02/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes,
Ce soir, je vais vous conter mes émois érotiques de jeune fille. Quand j’étais avec mon frère jumeau Ronan en classe de première au Lycée Chateaubriand de Rennes, nous sommes partis avec deux de nos professeurs pour un voyage d’études de quinze jours en Italie. Nous étions une quarantaine de garçons et filles avec quatre adultes pour nous encadrer. Après un voyage en bus assez fatigant jusqu’en Vénétie, nous avons été installés dans un château transformé pour accueillir des groupes d’étudiants ou lycéens. Je partageais une chambre avec Hermine. Rien ne nous prédestinait à cohabiter pendant ces deux semaines. C’était une camarade de classe un peu plus âgée avec laquelle je n’avais pas d’affinités particulières mais il fallait faire avec puisque le tirage au sort en avait décidé ainsi. Nous avions passé la dernière journée à Venise. De retour vers 23 heures, nous avons voulu prendre une douche dans le cabinet de toilette attenant à notre chambre. Hermine m’a dit de passer la première. Elle avait le temps disait t’elle. J’appréciais cette douche bienfaisante en alternant le chaud et le froid, faisant ruisseler l’eau le long de mon ventre et entre mes cuisses. A cette époque, j’avais encore ma toison pubienne. J’avais placé mon autre main dessus et je faisais tourner mon index sur mon bourgeon. Soudain, la porte de la douche s’est ouverte et Hermine s’est glissée avec moi dans l’étroite cabine. Quelle surprise : - Prenons notre douche à deux ! Elle commença à me frotter le dos ...
... avec une éponge gorgée de produit moussant. Puis de face, elle a continué sur mes petits seins, frôlant les tétons pour finir par descendre jusqu’à ma chatte où elle a mis une grande quantité de mousse onctueuse. De mon côté, je faisais la même chose. Je n’y voyais pas de malice. Nous nous rendions service mutuellement. Mais Hermine n’envisageait pas cela sous le même angle. Nouvelle surprise lorsqu’elle a laissé tomber l’éponge et qu’elle a commencé à masser les lèvres de ma chatte, faisant coulisser deux doigts dans la fente. Pour me livrer quelques fois aux plaisirs de l’onanisme, je savais que si elle continuait ainsi, je n’allais pas tarder à jouir. Non, elle s’est arrêtée. Nous avons achevé de nous doucher et nous nous sommes séchées mutuellement dans la chambre où Hermine a continué de me lutiner, caressant mes seins, mes fesses, m’embrassant dans le cou. Je me sentais comme sur un nuage et je me laissais faire. C’était bon ! Je me suis enhardie en tendant mes mains vers ses seins bien ronds, aux aréoles bistre et aux tétons légèrement saillants. Nous nous sommes enlacées pour de bon. Hermine m’a collée contre elle, nos poitrines au contact l’une de l’autre, nos cuisses imbriquées. Nous avons échangé quelques baisers timides sur les lèvres avant de basculer sur l’un des lits où nous avons poursuivi nos caresses. Hermine s’est mise sur moi, emprisonnant mes cuisses entre les siennes. Elle a entamé un mouvement circulaire du bassin. Je sentais sa motte contre la mienne. ...