1. Nadine, la vengeance d'une maman (24)


    Datte: 22/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    La chaleur est plus suffocante que jamais. Comme tous les matins, Nadine fait la vaisselle de la veille. Vêtue d’une légère – mais décente – chemise de nuit, elle frotte, récure plats, assiettes sales et couverts gras. Toute à sa corvée ménagère, elle n’entend pas son fils qui approche par derrière. Elle sursaute quand il l’enlace, se débat quand il lui fourre sa queue raide dans la raie. Elle l’envoie promener. Depuis plusieurs jours, elle prend ses distances avec lui, mais elle voit bien que le pauvre gamin y perd son latin, qu’il ne comprend pas pourquoi elle refuse ses avances. Elle en a le cœur meurtri, mais elle tient à recoller les morceaux avec son mari, afin que leur couple reparte du bon pied. Le sale gosse ne l’entend pas de cette oreille, se montre particulièrement entreprenant ce matin. Il la touche partout, la supplie de lui accorder une dernière fois ses faveurs. Il est si convaincant qu’elle n’a pas la force de le repousser quand il lui soulève sa nuisette ; elle l’aide même, presque malgré elle, à retirer sa culotte. Elle ne sait plus sur quel pied danser. Elle veut sauver son mariage, mais la formidable complicité sexuelle qu’elle partageait avec son fils lui manque. Elle a beau prétendre le contraire, elle l’a encore de travers, n’a pas pardonné à son mari ses errements passés. Elle est devenue une mère incestueuse par sa faute, alors elle estime qu’elle a le droit de se comporter comme telle quand elle en a envie. S’offrir à son fils – alors que son ...
    ... époux se douche juste à côté - l’affole d’autant plus qu’il n’a pas l’intention de la baiser, mais que c’est après son cul qu’il en a ! L’idée de lui accorder ce qu’elle a toujours refusé à son conjoint – et en sa présence cette fois, pour ne rien gâcher – l’excite terriblement. Elle sait que ce vilain garnement lui en veut de l’avoir négligé, pourtant elle est surprise qu’il la sodomise aussi brutalement. A sa demande il devient moins violent, mais ne s’arrête pas pour autant de lui remplir le cul, tout en échangeant avec elle des considérations d’une rare perversité. Quand il éjacule sur son visage - pour la punir ? –, elle ne lui en tient pas rigueur ; elle met même beaucoup d’ardeur, au contraire, à lui lécher, lui nettoyer la queue, comme pour sceller leur connivence retrouvée. Les jours suivants, il l’entraine dans des jeux sexuels qui lui donnent beaucoup de plaisir, mais qui le laissent sur sa faim ; elle réalise que leurs rapports brefs et clandestins ne lui suffisent plus. Alors qu’il se contentait de faire avec elle des cochonneries matinales, il monte d’un cran le soir où il la branle sous la table, pendant qu’ils dinent tous les trois. Elle le masturbe à son tour, échange avec lui des regards entendus, des sourires complices. Ce qui l’amuse, mais la met aussi dans une rage folle, c’est que son mari est bien trop préoccupé par sa petite personne pour soupçonner ce qui se passe sous son nez. Il franchit un nouveau palier quand il entre en pleine nuit dans la chambre ...
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