1. Deux stewarts pour mon entretien d'embauche (1)


    Datte: 16/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... perturbée sans faire attention à mes voisins. Je ferme de temps en temps les yeux et me mords les lèvres. Tout d’un coup je me rends compte que je me suis laissée aller et je vois que les deux regards sont posés sur moi. Je vois que le blond d’en face observe ma chatte tout humide et d’un coup une décharge en moi se fait sentir comme si cela m’avait frappée d’excitation en un pic incontrôlable. Voir son regard qui fixe ma culotte toute trempée ne me laisse pas indifférente et j’ai follement envie moi aussi comme la fille du bouquin de goûter une belle queue bien raide. Je referme un peu les jambes comme par réflexe de pudeur et me réajuste un petit peu. Mais cette sensation de voyeurisme m’a fait découvrir une excitation unique. Je décide alors de retenter l’occasion. Peu à peu sous le regard du grand blond en face de moi, je lui offre un beau spectacle. L’autre homme dans le coin s’est replongé dans son magazine nous laissant le stewart blond et moi dans une relation privilégiée. J’écarte lentement mes jambes en passant ma langue sur mes lèvres et en le regardant droit dans les yeux avec un regard de cochonne provocatrice. J’en profite pour remonter de quelques centimètres ma jupe pour lui donner plus à voir. De son côté, il semble imperturbable et continue de regarder ce spectacle sans bouger mis à part son sexe qui forme une belle grosse bosse sous son pantalon de costume. Elle m’excite de plus en plus, j’ai envie de la faire grossir encore. Je pose mes mains sur mes ...
    ... cuisses et je caresse délicatement vers l’intérieur de mes cuisses en ouvrant encore plus mes jambes. Sa queue grossit encore et elle semble énorme. Je la veux, je veux goûter cette queue, sentir un autre sexe que celui de mon homme, la sentir en moi dans ma bouche, entre mes mains, dans ma gorge. Je suis prise d’une excitation folle et je n’arrive plus à l’arrêter. Je sais que ce n’est absolument pas raisonnable mais je m’en moque je n’écoute que mon corps, qui brûle d’un extrême désir pour cet homme et sa belle queue. Je commence maintenant à décaler mon string pour lui laisser voir ma petite chatte tout humide, surplombée de quelques poils bien taillés en V. De mon autre main je déboutonne ma veste pour lui montrer mes seins qui pointent de plus en plus sous mon débardeur moulant. L’homme semble ne plus pouvoir se contenir il me désire follement et son regard attend seulement un signe de ma part. Il passe sa main dans ses cheveux et il caresse de sa main droite sa queue à travers son pantalon. Je repense à mon livre et cette femme sodomisée et prise en plein restaurant. Je n’en peux plus il faut que je fasse quelque chose pour assouvir mon besoin. Je veux toucher cet homme, découvrir enfin cette grosse queue qui bande à trois mètres en face de moi. Je n’avais jusque-là jamais trompé mon copain mais je ne pouvais plus reculer. Cette sensation folle de me faire mater en me touchant m’avait mis dans un état irrécupérable. Mon vagin réclamait maintenant une verge pour le combler et ...