1. Le torrent


    Datte: 22/02/2019, Catégories: 2couples, fhhh, grp, couplus, cocus, inconnu, vacances, plage, piscine, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, échange, attache, yeuxbandés, confession,

    ... sous les yeux la réalisation d’un de ses fantasmes. Il ne peut pas être plus près. S’il voulait, il pourrait les lécher, le conquérant et la soumise. Mais une autre queue lui arrive. Celle qui se chauffait dans la raie des fesses. Pour elle, c’est plus facile : la bite de Régis est plus fine. Sa bouche l’accueille. Elle aussi, il la prépare pour son épouse. Il faut qu’elle soit parfaite. Dure, tendue, excitée, prête à bondir mais parfaitement huilée pour le chemin prévu. Pendant qu’il suce Régis, il voit John qui s’active entre les cuisses de Marie. Il sait qu’il la prépare, la chauffe pour ce qui va se produire, inexorablement. La fine tige le quitte. Elle aussi a un autre but. Le gland affûté et luisant se place contre la rondelle. John s’est arrêté. La soumise sait que cela va se produire. Cédric ne quitte plus des yeux l’œillet alors que Régis l’entrouvre d’une lente avancée. Sur l’écran les images se succèdent. Le visage de Marie, puis la queue qui avance dans son cul. Valentin a fait un beau travail de montage, alternant caméra fixe avec caméra mobile. Expression du visage de l’enculée qui sent la tige avancer dans ses entrailles alors que le gros bâton de John la remplit déjà. On dirait que Marie cherche de l’air, gardant la bouche ouverte, comme un reflet de son anus qui s’est ouvert et que la queue vient d’envahir. Voilà, les deux hommes sont en elle. Elle pourrait se laisser tomber et reposer sur ces deux pieux de chair. La caméra prend du recul, et maintenant ...
    ... c’est le lent pistonnage de la femme. Il faut quelques mouvements pour que les hommes se synchronisent et trouvent le bon rythme. Très vite, Marie se laisse mener par leur allure. D’abord le « pas ». Puis le « trot ». Puis le « galop ». La femelle n’est pas à quatre pattes, mais attachée, suspendue au plafond et chevillée sur deux hommes. Pas de cris de jouissance, mais des soubresauts et un visage qui oscille entre paradis et enfer. Les deux hommes éjaculent à grand renfort de coups de reins. Marie, qui revit ce moment où le jus jaillit presque simultanément dans ses deux trous, est pourtant obsédée par le visage de celle qui est à la télé. Elle se rend compte que lorsque le matin elle se regarde dans la glace, ses expressions ne sont que l’écume de sa personnalité. La télé montre une autre personne, une figure qui reflète une autre Prune, comme si tout remontait à la surface : le plaisir, le vice, la douleur, la vulgarité, la bestialité, la jouissance, le plaisir de se retrouver ainsi prise comme une salope perverse. Elle est heureuse lorsque la caméra montre son cul et sa chatte qui viennent d’être abandonnés et qui suintent le sperme et sa jouissance. C’est plus cru, mais étrangement moins dérangeant que le gros plan sur le visage de la femme. Et puis il y a aussi son mari que l’on force à nettoyer la bite de John. Elle le voit sucer à nouveau et rendre une verge propre à son propriétaire. On ne lui propose pas celle de Régis, qui doit porter une odeur autrement plus forte. ...